Leçon 1, Chapitre 1
En cours

Mission n°21

Selon toi, quel est le principal problème dans les villes de de ton pays ?

Écris ta réponse dans les commentaires.

  • Je suis née à Johannesburg en Afrique du Sud. Le problème là-bas se situe dans le centre ville plutôt que dans la périphérie. J’y ai grandi au bon vieux temps, une époque où nous profitions des magasins et restaurants du centre ville. Aujourd’hui c’est une scène d’un futur dystopique. Des gens pauvres, sans éducation, y compris des immigrés illégaux ont emménagé dans le quartier. Ils squattent dans les immeubles et les propriétaires ont quittés en abandonnant leurs biens. Les fenêtres sont cassées, les portes volées, les déchets partout et toute verdure détruite. C’est incroyable que des êtres humains puissent vivre dans cette situation dégradée.

  • C’est le nombre de sans-abri qui est le principal problème dans les villes des États-Unis. Il y a plusieurs de raisons pour çe problème. Parmi eux ce sont les drogues, le manque d’immeubles, le coût de la vie, le paye insuffisant, et les maladies mentales et corporelles. Pourtant le fond du problème, c’est les politiques du governement qui permet les riches d’éviter les impots et qui ne soutienne pas les pauvre.

  • Aux États-Unis, le plus gros problème est le manque d’éducation dans les écoles publiques. Si les gens ont une éducation, ils peuvent comprendre les questions compliquées et prendre la bonne décision au moment de voter. Si les gens n’ont pas une bonne éducation, il est facile pour les politiciens de les égarer.

  • En Suisse, nous n‘avons pas de problème comme en France. Les « grand ensembles » sont rénovés tour les 30 années. Souvent payer par la commune. Les grandes problèmes sont les transport publique, la chaleur en été et qu’il y a suffisamment d’appartements bon marché.

  • En Finlande ca varie: notre capital a des problèmes différentes que les autres villes. En général, les grandes villes vont assez bien. Dans les villes plus petites il y a moins des jeunes mais beaucoup des personnes âgés, alors il y a manque de la main d’oeuvre. Actuellement on a discuté qu’il faudrait avoir plus d’immigration pour resoudre le problèm.

  • Dans mon pays, le principal problème est la corruption de gouvernement. Le gouvernement, volent les budgets que normalement pour aider les pauvres. Il y a beaucoup de pauvres, du coup, les gens qui habitent en province ou à la campagne viennent à Manille, le capital de pays, en espérant de trouver des travails. En fin, en arrivant à Manille, ils ne trouvent pas des travails, et ils restent à la ville comme les squatters. C’est très triste, mais comme à paris, on a des problèmes comme ça, cependant on a pas des étrangers, c’est les citoyens de Philippines.

  • Comme differentes autres étudiants ont deja écrit, la situation est similaire un peu partout. Et l’Italie ne fait pas d’exeption. La seule chose qui est differente, c’est qu’en Italie, ils ne se passent presque jamais des émeutes, ou des épisodes violents en general. Les personnes se plaignent sur les reseaux sociaux pour quelque temps, mais après ça tout est oublié

  • La situation au Royaume-Uni est assez similaire à celle de France. Mais, une différence, c’est qu’il n’y pas de « banlieues », bien qu’il y ait certaines régions des grandes villes où il y a eu des émeutes. Souvent la cause des émeutes est le mort d’un jeune homme noir. Et il y a des commentateurs politiques qui pensent de la police est institutionnellement raciste, particulièrement à Londres.

  • Beaucoup de gens voient Hong Kong comme le Monaco de L’Asie mais il y a beaucoup de problèmes. Le principal problème à Hong Kong est la inégalité et le prix de l’immobilier très élevé. Le salaire minimum est très bas. Et aussi un gouvernement qui n’est pas responsable. Les restrictions très strictes pour lutter contre le Covid font beaucoup de difficultés pour les gens et les petites enterprises.

  • Malheureusement, la ville dans laquelle je vis a récemment eu des problèmes avec les sans-abri et le recours à la drogue. La ville n’a pas les moyens d’aider ces personnes vulnérables. De plus, nous avons eu un sérieux problème de manque de médecins pour notre population.

  • Je crois que le principaux problème de ma ville est de savoir comment d’aider les gens qui ne veut pas ou qui ne peut pas être logés, qui ont, par example, une maladie mentale et il n’y a des traitements disponibles.

  • Le principal problème dans les villes allemands sont surtout les différences entre l’ouest et l’est. Après la seconde guerre mondiale, l’Allemagne était séparé en quatre zones d’organisation et chaque a appartenu aux pays différents. Le résultat, c’était que les conditions à l’ouest ont été mieux qu’à l’est. La situation n’a presque pas changé du tout.

  • Le principal problème des villes de mon pays est la saleté des villes, qui sont souvent sales, et la désorganisation des transports publics. Mais en Italie, chaque région est très différente et a des problèmes différents. Il est difficile de les mettre dans le même cas.

  • Quel est le principal problème de São Paulo, au Brésil ?
    Difficile the choisir un problème: nous en avon trop !
    Mais, à mon avis, tous les problèmes résultent de l’indifférence de l’État vers la communauté plus pauvre, e, quelque fois, vers la communauté en général. 

  • J’habite dans un petit ville de Connecticut. Il y a inégalités geographique et racial aussi, parmi le quartier plus riche et blanc, et le quartier plus pauvre avec plus d’immigrantes du Amerique Latine. Il y a aussi le problème du qualité du education different selon le tranche d’imposition.

  • Je vis dans une ville appelée Suzhou en Chine. Elle a peut-être l’industrie manufacturière la plus grande du monde. Ici, l’économie dépend sévèrement de manufactures. Donc, il y a beaucoup de ouvriers qui travaillent ici. Mais ils ne se sentent pas du tout sûrs de leurs droits de repos, d’avoir une salaire plus stable ou de défendre leurs intérêts légaux contres leurs employeurs.

  • Je pense que le principal problème dans les villes de Brésil est la violence. Parce-que en raison de la violence les brésiliens ont beaucoup plus des problème, et la violence est présente dans tout le ville du pays.
    Alors, j’explique pourqui cette problème interfér dnas tout les autres. La violence et la criminalité créer ensemble un cecle vicieux, tous le peuple qui n’ont pas des oportunité sont toujours forcé à vivre avec le combat que se trouvez entre la policie et les trafiquant de drogue, et en consequence, l’image de l’état est compromis, et en conséquence l’établissements n’ont pas la puissence pour aider le peuple.

  • En suisse il y a aussi des cités où habitent presque seulement des étrangers et des gens en générale qui n’ont pas assez d’argent. Je pense il n’y aucun pays qui n’a pas des lieux comme lesquelles. Mais heureusement la situation n’est pas du tout si désastreuse comme en France.

  • La situation aux villes du Portugal c’est pareille, mais avec une échelle plus petite. Il n’y a que deux grandes villes, Lisbonne et Porto. Toutes les deux ont été construites à cotê des embouchures des deux plus gros fleuves du pays. Et quand le besoin de construire des banlieus c’est arrivé, les riches l’ont fait au bord de mer, les pauvres à l’est des villes. Et c’est ici qu’on voit les banlieus problematiques, avec de la drogue, la violence, le chômage, etc. Et comme en France, la solution n’est pas encore arrivée.

  • En royaume uni le principal problème est l’inégalité entre Londres et les autres. Comme Paris, Londres a beaucoup de richesse mais il n’y a pas assez des logements pour toutes les gens qu’y vivent. Le résultat de ça est que les loyers pour les logements sont trop chers pour la majorité et ils doivent habiter loin de leurs travailles et navette chaque jour.

  • Le plupart de les problems provenir de le chômage. Comme La France, avec le désindustrialisation et des crises économiques des années 1970 et 1980, beaucoup d’usines ont ferme. Donc le taux de chômage considérablement augmente. Surtout en le région moyen-ouest, comme Detroit. J’ai grandi dans la banlieue de Detroit et Je l’ai vue moi-même. Mais l’assistance de gouvernement n’est pas la solution. littéralement des milliards de dollars ont été jetés sur le problème, mais les choses sont pire que l’avant. Je voudrais voir le gouvernement utilise les fonds publics pour construir des usines. Ce chemin pourrait être mieux dans le futur, parce que les usines, en plus de réduisant le taux de chômage, favoriser la croissance d’autres entreprises de soutien. De telles affaires bien sûr, créer d’autres emplois dans la région. 

  • En les États-Unis il existe les mêmes problèmes qu’en France, mais en général de manière inverse: les villes sont négligées et les banlieues sont en meilleure condition. Plusieurs villes souffrent de décennies de désinvestissement en raison de politiques racistes. On parle de “la fuite blanche” à les banlieues, qui a eu pour résultat la perte d’opportunités pour ceux qui ont restés. Les villes continuent à lutter avec la crime et le chômage.

  • Dans mon avis, le principal problème est dans les centres-villes. Il y a plus en plus de magasins qui ont fermé en raison de Covid 19 et des gens en préférant de faire les courses en ligne, plutôt que promenade dans les magasins. Dans les plus part des centres-villes, il y a beaucoup de magasins qui sont vides en raison les entreprises décident de se localiser dans des parcs commerciaux hors de la ville. Malheureusement les centres-villes commencent à ressemble très triste et moins en moins animé.

  • À mon avis, le problème principal dans les villes aux États-Unis est celui de la sécurité. On est en ce moment dans une rupture pour ainsi dire entre les gens qui pensent que le mouvement de Black Lives Matter veut dire ne pas payer la police. Le message < Defund the Police> a été utilisé pendant les manifestations il y a un an. À partir de ces événements, le crime a beaucoup augmenté et on constate que la police n’ait plus ni désir ni argent pour le résoudre. Bien sûr, le racisme contribue à agrandir effectivement cette mauvaise situation pour laquelle il n’y a pas encore de solution.

  • Je viens de Nouvelle Zélande et ici il y a beaucoup de problèmes avec la prix de logements. Trop de personnes ont plusieurs maisons pour gagner de l’argent et il n’y a pas assez pour les gens qui veulent une maison pour vivre. À cause de ça, les prix des maisons sont trop cher pour les gens qui ont un travail normal.

  • Merci Hugo. Je ne savais pas que la France avait un tel problème.
    Malheureusement c’est un problème global, qui augmentera avant qu’une solution ne soit trouvée. On doit commencer par rendre l’éducation équitable.
    Même un pais come l’Australie, où je vis, et que je considérais un pays juste, non plus !

  • Je vis dans le sud Floride et c’est un peu comme à Paris. Nous avons l’île Palm Beach, avec tous les personnes très riches, et juste à côté, 10 minutes par voiture, il y a des banlieues très, très pauvres. Mais de plus en plus, le coûte des maisons et des appartements devient trop chers pour la plupart des travailleurs partout, même dans les banlieues de classes moyennes. Je suis prof d’anglais et il faut vivre avec mon mari et maman, les trois salaires, avoir des conditions de vie confortables.

  • Il y a beaucoup de problèmes au Canada. Je veux en partager un. C’est le problème de soutien psychologique ou le problème de l’absence d’un tel soutien. Ici, en province d’Alberta, ou j’habite, L’association de Psychologues a établi des tarifs pour les consultations. Et le prix est 200 dollars canadiens pour une heure. C’est incompréhensible. Cela rend l’aide psychologiques indisponible pour ceux qui en ont besoin le plus. Les psychologues se plaignent également parce que cette situation empêche de leur travaille.

  • En Israél la côte de la vie est trés chére.Il n’y a pas bonnes infrastructures de transports en commun et c’est pour ça que presque tout le monde utilise des voitures. ça cause beaucoup de problèmes comme des embouteillages et de la pollution.
    Par example un bon pain ça coùte 20-30 ILS (6-8 Euro) et les salaires sont bas. Ça veux dire que il y a beaucoup de gens que ne pas terminer un mois balanceé
    les loyer est chére et c’est presque impossible achéter de la maison.
    Je crois qu’à Tel-Aviv, nous avons le même problème qu’à Paris. De nombreux immigrants de différents pays vivent dans de petites appartements et essaient de trouver un emploi. Parfois, le pays les expulse ou expulse leurs enfants. Mais le plus gros problème d’Israël est l’occupation de la Palestine et ses relations avec eux.

  • L’abordabilité du logement est un gros problème, en particulier pour la jeune génération. La fréquence des transports en commun devrait être améliorée afin que nous puissions compter davantage sur les transports en commun afin d’avoir moins de pollution. Les centre d’affaires doivent être décentralisés afin que les gens puissent travailler plus près de chez eux

  • Le problème des inégalités est très grave dans mon pays et il apparaît aussi dans les villes. On y voit de petits logements bas de qualité, où vivent de nombreuses personnes, sans eau, sans assainissement de base et sans ramassage des ordures, à côté de grands appartements riches et confortables, où peu de personnes vivent. C’est triste et injuste. Un autre problème grave est le transport public qui n’est pas suffisant et efficace.

  • Un grand problème, c’est de trouver un appartement rémunérable dans la ville où on travaille. Ici on fait des remises en état de luxe mais bien sûr ça n’aide pas les gens qui ont un revenu moyen ou moins. Il y a des villes où on pourrait habiter agréable, mais il n’y a pas de travail et vice versa.

  • Le plus grand problème dans Seattle est la côte ouest aux etats unis est les sans-abris. Pendant Covid la crise de san-abris était devenu terrible. Il y a beaucoup de tentes n’import où dans notre ville; dans le parc, dans le centre-ville, sous les ponts etc.

  • Je pense que c’est la même chose aux États-Unis. J’habite à Austin, au Texas, aux États-Unis. Il y a des zones de la ville où vivent des gens riches et des zones où vivent des gens pauvres. Ces zones plus riches ont plus de pouvoir pour voter et reçoivent plus de fonds du gouvernement local. Et plus, il n’y a presque pas de supermarchés, de cliniques médicales, de parcs, etc. dans les quartiers pauvres.

  • Je vis à Los Angeles, ôu on a des quartiers similaires. Le system est cassé, et je crois qu’il ne s’améliora pas tant que les pauvres n’auront pas le doit de voter. Actuellement, on est confronté à la supression des électeurs, à des efforts délibérés pour empêcher les personnes de couleur de voter.

  • à mon avis, le principal problème est que la pauvreté et souvent aussi la barrière de la langue donnent l’impression que ceux qui ont le moins dans la société sont séparés et différents de la majorité, qui, en comparaison, a un certain accès au pouvoir et aux moyens d’effectuer les changements nécessaires

  • Dans mon pays la majorité des villes ont des problèmes pareils. Je vais énumérer : 1. Occupation irrégulière de l’espace avec constructions de bas qualité ; 2. Inexistence d’un service d’assainissement de base acceptable ; 3. Hauts taux et hauts impôts sur plusieurs bases comme la production, la distribution des produits, le revenu et sur le commerce. La somme de ces éléments va proportionner une situation d’impossibilité du développement..

  • À Turin, Italie, où j’habite depuis 14 ans, on a deux types de banlieues: celle qui se trouvent dans la péripherié de la ville, mais entre ces limites, où il y a pas mal de problèmes de dénivellation sociale, mais qui ont une proprie identité urbaine. Ensuite, le second type est celui qui se trouve au-delà des confins de la ville, elles y sont attachées mais n’en font pas partie administrativement. Là, les gents vivent leur petites vies bourgeoises, ce sont des villes calmes, très jolies. Très ennuyeuses aussi. Moi j’y habite quand même, lol

  • A mon avis les problèmes sont les mêmes partout. La pauvreté, le manque de propre logement, le manque d’éducation, l’inégalité des chances, tout ça cause le sentiment d’abandon par l’état, le gouvernement et les politiciens. Du coup on est malcontent et les problèmes commencent. Ni l’état, ni le gouvernement, ni les politiciens ne peuvent répondre suffisament.

  • Merci, Hugo, pour ton explication sensible et intelligente de ce problème vraiment difficile. Je crois que maintenant j’ai une mieux compréhension de la situation qui se trouve dans les banlieues. J’espère que, petit à petit, les choses comme le chômage, la pauvreté, et le manque d’opportunités vont améliorer avant plus d’effondrement de la societé française.

  • À Amman, le principal problème est l’injustice du système de transport. Le gouvernement a décidé de remodeler le centre-ville pour l’avantage du bourgeois. Donc, en 2005 une grande gare du transport a été reportée à loin du centr-ville pour limiter les bus et les covoiturages entrent la région parce qu’un investisseur privé est en train de construire un nouveau centre-ville, qui s’appelle Abdali boulevard, qu’offre magasins de grandes marques et services pour le riche. Maintenant, les usagers des transports en commun doivent prendre plus de transport pour aller à la région et cela côte plus d’argent et plus plus de temps.

  • J’ai lu une interview avec Daniel Cohn-Bendit datant de 2005. Il dit: “Ce sont des ghettos comme on n’en connaît pas en Allemagne.”

    De nos jours, nous avons certainement dans certaines villes des quartiers dits “à problèmes”, mais je pense que les problèmes dans les villes ne sont pas aussi concentrés localement qu’en France, à part quelques exceptions.

  • Une grande partie de Washington DC est ségréguée, malgré le fait qu’il y a de moins en moins d’endroits qui sont racialement homogènes.
    La ségrégation entraîne une distribution inégale des ressources ou de l’accès aux biens ou aux réseaux, elle cause alors un grand préjudice.

  • Le principal problème dans les villes de mon pays et l’inegalité contre le capitale et les regions dans le nord est l’ouest. Le capitale est le moteur de l’economie, les politiques est aussi la culture. Le gouvernement dit que le grandir d’egalité est très important, mais aprés onze années en pouvoir la même problème existe.

  • Selon moi, le principal problème dans ma ville (Moscow) de mon pays (Russia) est beaucoup de gens qui viens seulmen recement et qui seulmen recement commence a developer ses nouvelles compétences mais ils veulent aussi gagner la meme grand salare que l’autre specialist avec super expérience. Résultat : il y a tres grand probabilitie de choisir mauves specialist parce que la meme coût des services ne pas toujours egal la meme qualitie.

  • Je crois que les principaux problèmmes de mon pays d’origine sont: la pauvreté, le traffic des drogues, l’insécurité, la corruption des politicien, les groupes de guérilla, le chômage chez les jeunes, parmi autres. Un pays beau avec de peuple exceptionnels: la Colombie!

  • En Australie c’est la circulation!! Les premiers villes sont enormes et il faut habiter loin de leur lieu de travail pour beaucoup de gens. Sans le transport en commun très efficace, c’est la circulation de fou qui est la consequence. C’etait extraordinaire pendant le confinement de conduire sur les routes vides

  • Si on veut la paix on doit créer un société ou tout le monde appartient et a des opportunités de réaliser une vie assez bonne. On ne peut pas avoir les inégalités très grands. Les riches doivent investir dans la ville avec leur impôts, pas par la philanthropie. Et le gouvernement doit investir dans les choses fondamental – les écoles, le system de santé, logement. Le secteur des entreprises doit accepter un baisse des bénéfices et partager plus avec les ouvriers. Dans notre ville les loyers sont si élevés que personne ne peut pas croire qu’un travail acharné se traduira par un style de vie raisonnable. Si il n’y a pas d’espoir d’être accepter par la communauté ni gagner une bonne vie, pourquoi participer? Aussi, connecté à ça, nous avons traumatismes, traumatismes historiques, drogues et alcool, deuil et perte. Je travail avec les gens qui n’ont pas une vie simple et si j’avais eu les experiences d’eux, je ne pourrais pas participer dans la société bourgeois non plus.

  • Beaucoup de problèmes aux É-U (à mon avis) viennent de la distribution de l’argent pour l’éducation: Il vient des impôts sur la communauté autour des écoles (les impôts municipales). Donc, les écoles les plus pauvres restent pauvres parce que les communautés pauvres n’ont pas de ressources pour soutenir leurs écoles… et les communautés riches ont les meilleures écoles parce qu’ils sont riches. Malheureusement, les politiciens n’ont pas le courage de changer la distribution de l’argent vis-à-vis les écoles parce que les riches veulent que leur argent ne va que l’éducation de leurs propres enfants.

  • Honnétement, et malheureusement, les problèmes qui existent là où je vis sont les mêmes que ceux décrits par Hugo describe dans cette vidéo. J’habite aux États-Unis, à Los Angeles, et nos cités ouvrières et banlieues fonctionnent de la même manière.

  • Aux états unis on a aussi beaucoup de pauvreté, mais pas seulement de la pauvreté. Dans les villes il y a certainement un problème concernant les boulots bas-payé, propriétaires sans scrupules et inégalités selon sa race. Mais ici, selon moi, des problèmes avec le droit du vote est la plus grande de ces problèmes. Les états rouges, comme le Texas ont créé des lois contre ce droit, en changeant les termes, disponibilité et facilité du voter pour les endroits avec plus des personnes noires et qui voter selon les lignes du parti démocrate. Aujourd’hui, nous avons besoin de l’intervention fédéral. 

  • En Allemagne, il y a d’ un côté le problème de le transport en commun: on est désavantagé sans voiture car il n’y a pas du transport pour la nuit ou de la ville à les banlieues, au moins dans les villes de la taille moyen,
    et d’autre il y a le problème de la manque de la intégration des immigrés.

  • Dans les grandes villes, il y a beaucoup de gens sans-maison. Quand j’ai habité à Washington D.C. (la capitale), presque tous les matins j’ai vu quelques tentes sur le trottoir. Il y a aussi une grande disparité educationelle entre les écoles de la ville (“inner city schools”) et les écoles (publiques et privées) dehors la centre ville.
    Comme les autres ont dit, l’inégalité dans tout (l’economie, la societé, etc.), c’est une grande problème, surtout parce que l’inégalité dans une partie de la vie est liée à l’inegalité dans les autres parties de la vie.

  • La Russie est un très grand pays. Il existe de nombreux villages situés très loin du centre, où les gens vivent très pauvrement. Tous les jeunes, une fois l’école terminée, veulent aller dans le centre, le plus souvent à Moscou. Les villages sont désertés.

  • Je crois que le principal problème dans les villes américaines est l’inégalité – l’inégalité entre les sexes, les races, principalement entre les classes sociales. Les riches ne cessent de s’enrichir, les pauvres de s’appauvrir et pour beaucoup de personnes, les salaires moyens stagnent, mais le coût de la vie augmente. Ce problème crée beaucoup de problèmes secondaires comme l’alcoolisme, les problèmes de drogue et la criminalité.

  • Aux Pays-Bas, la principale problème est la ségrégation spatiale. Les personnes plus riche et plus pauvre vivent dans les quartiers différentes, vont à les écoles différentes etc. Cette problème est le plus fort dans les grandes villes comme Amsterdam et La Haye.

  • Aux États-Unis, l’inégalité des revenus est un énorme problème. Les politiques qui ont commencé avec Ronald Reagan ont réduit les services sociaux du gouvernement afin de réduire les impôts. Les riches en ont profité et les pauvres ont pris encore plus de retard. Et, bien sûr, la discrimination a joué un rôle dans le logement, l’éducation, l’emploi et les soins de santé.

  • La Colombie est un pays centralisé. Le pouvoir est concentré principalement dans le capital et il y a, généralement parlant, deux types de société dans le pays : une centrale, qui habite dans le capital et d’autre qui habite dans la périphérie. La périphérie est aussi conformée par les zones rurales, qui sont les épicentres de la violence qui a vu le pays depuis 80 années, avivée pour différentes causes : le trafic de drogue, l’extraction minière illégal, l’expansion de projets agricoles, comme l’implémentation des monocultures, pour part des entreprises nationales et internationales, et, principalement, la guerre contre les drogues et la dispute pour la domination du territoire rural de la part de groupes armées illégales. Cela, ainsi que les catastrophes naturelles et la pauvreté, a obligée à presque 8 millions de personnes (d’une population nationale presque de 50 millions de personnes) à abandonner les zones rurales en direction des villes. La Colombie est aujourd’hui un du pays avec la plus grande population de personnes déplacée internement du monde. La situation dans les villes est aussi désolante : 57% de la population n’ont pas un emploi formel (c’est un emploi sans prestations sociales ainsi comme un salaire réguler) et 16% de la population est au chômage. Avec la constante réduction néolibérale de l’état, la corruption et le manque de clarté sur la manière comme les conflits internes pourrait être résolus, nous sommes un pays raté.      

    • La situation que decrire ici c’est la mêmê comme au Kenya- La corruption, gouvernment pas de l’ntêret du pour ameliorer la vie pour les citoyennes,le population rural aime la grand ville parce que l’argents est beaucoup ,la chomage est 40% mais la verité il y a pas de guerre ou les choses deviendra mal.

  • Dans les quartiers similaires aux États-Unis, il y a beaucoup des mêmes problèmes. Une population étrangère nombreuse, des minorités confrontées à des discriminations, un manque de travail, des usines fermées, peu d’espoir pour l’avenir. Mais ces lieux ne sont pas des “banlieues” à la périphérie des grandes villes, mais plutôt dans leurs centres.

  • Aux Etats-Unis, les problemes dependent sur les villes. Il y a quelques villes (New York, San Francisco, Washington, DC) qui sont tres riches, avec beaucoup de travails, beaucoup d’argent, et ou les entreprises veulent s’installer. Ici, le plus grand probleme est le coute de logement. Puis il y a des autres villes, comme Detroit, St. Louis, Cleveland, et Baltimore. Ces villes ne sont pas riches, ont peu de travail, peu d’argent, et leurs habitants ont beaucoup de problemes sociaux: la pauvrete, des drogues, la violence, etc.

  • A mon avis, le principal problème dans les villes de mon pays c’est le
    manque de services qui laissent le centre sous-financé
    et créent une spirale descendante. Il existe de nombreuses raisons, mais
    l’échec de la planification en est une (trop de centres commerciaux en dehors
    de la ville où le stationnement est gratuit) et l’autre est les tarifs
    professionnels. Il est trop cher pour les entreprises de s’y installer –
    d’autant plus que la fréquentation est en baisse. Un cercle vicieux.

  • En fait, ce n’est pas trop différent que la France; mais le problème est beaucoup plus grand que juste une seule ville, c’est le pays entière. En Amerique, la culture dictat que si vous n’avez pas d’argent, il faut que vous mouriez. Il est très peu des gens qui peuvent acheter une maison parce qu’ils coûtent trop trop trop chère. Dans tous nos grande villes il y a des milliers et milliers des gens qui doivent vivre dans la rue. J’ai entendu que c’était à propos cinq cents mille, mais je ne crois pas, parce que je suis sûr le nombre est beaucoup plus gros que ça. Les emplois ne paient pas assez argent, le prix du logement est tellement élevé, et il n’y a pas d’assurance maladie sauf si vous avez un très bon travail. C’est pour tous ces raisons et plus que je veux déménager a l’étranger!

  • Dans mon pays (l’Ecosse) le grand problème c’est le nombre des personnes qui utilise des stupéfiants. Ce problème touche les villes et les quartiers les plus pauvres comme les cités du nord et de l’est de Glasgow et de Dundee. La consommation de drogues est en forte corrélation avec les inégalités sociales, la pauvreté, et le chômage. En 2020, 1339 personnes ont trouvé la morte à cause de leur consomation de drogues. 1,339 dans une population d’un peu plus de 5 million ! On est leader dans toute de l’Europe dans ce carnage. C’est la honte de mon pays.

     🙁 

  • En Belgique (surtout à Bruxelles) le problème est pareil – il y a beaucoup de gens d’origine arabe et africaine, mais aussi d’autres pays européennes (par exemple les gens qui travaillent dans ‘la bulle européenne’) qui ne s’intègrent pas. Et c’est aussi comme en France que c’est partiellement à cause de l’approche adoptée vers l’immigration.

    Il faut être plus belge que les belges – même si la majorité d’entre eux n’arrivent pas à parler les deux langues principales de son pays (néerlandais et français), les entreprises souvent exigent leur connaissance pour les immigrés (je dirait que c’est la discrimination cachée). Comme en France, les femmes sont exclues de la vie publique si elles portent la voile.

    Et bien sûr Belgique a aussi ce problème du séparatisme qui n’aide pas. Par exemple, les autorités flamandes se sont réjoui quand ils ont réussi à supprimer les annonces en français dans les bus bruxellois qui circulent en Flandre (voici l’article sur ce sujet: https://www.vrt.be/vrtnws/en/2021/04/05/brussels-buses-ditch-french-in-flanders-at-last/). Alors comment les non-belges peuvent s’intégrer si les belges eux-mêmes n’arrivent pas à cohabiter?

  • Comme France, Japon a le gouvernement centralisé. Le pricipal problèm de Japon est la concenration de la population à Tokyo. À cause de la concentration, le prix des terrains est elevé. Il y a une grande difference entre les pauvres et les riches. Dans les regions locals, les jeunes quittent leur pays pour travailler en grandes villes comme Tokyo, Osaka, Sapporo, Nagoya, Fukuoka, etc. Dans petits villes, des personnes agés doivent vivre independentment, mais souvent il n’y a pas des supermarches ou des hôpitals qui sont undispensable à ses vies.

  • En Afrique du Sud, on a un grand probleme avec le taux de chômage très élevé notamment plus de quarante pour cent. Aussi le pays n’a pas, non plus, echappéses années d’apartheid, et il reste une grande disparité de richesse entre les differentes races. Ceci est evident dans les zones pauvres et les zones riches qu’on trouve, très souvent, l’une à côté l’autre dans les villes, les villages et mêmes dans la campagne.

  • En Suède où j’habite, un des nombreux problèmes concerne l’inégalité entre les villes et les régions de paysage et par-dessus tout entre les régions métropolitaines et leurs banlieues. Par exemple, dans les banlieues, en particulier du nord-ouest de Stockholm, il y a beaucoup de monde pauvre qui sont séparés de la société: ils n’ ont ni la langue suédois, ni un éducation, ni un travail. C’est une spirale maléfique !

  • Moi j’habite à Edimbourg en Ecosse, et c’est une ville assez riche où la majorité de la ville est très pittoresque. Mais, il y a des cités ouvriers où il y a beaucoup de pauvreté et là-bas existe le problème plus grand d’Ecosse. Les gens qui vivent là-bas ont une experience d’Edimbourg totalmente different que nous qui vivons près du centre. Il y a obésité, l’alcoolisme.

  • Au Canada, les problems dépendant de la ville. Toronto a été dans les journaux récemment parce que notre police a été impliquée dans des raids violents dans les parcs où des sans-abris vivent dans les tentes. Mais la ville est si chère et elle n’a pas assez de logements adorables. Les gens n’ont nulle part où aller. C’est très frustrant et tellement triste !

  • En Australie le plus grand problème de nos villes est que trop de gens habite dans peu de grandes villes. Quelques villes continuent grandir mais la croissance est déséquilibrée. Les prix de l’immobilier dans les grandes villes sont beaucoup plus élevés qu’ils ont à la campagne ou dans les petites villes. J’espère que, avec la possibilité de travailler de la maison, plus en plus d’Australiens déménageront de les grands ville.

  • Aux Etats-Unis le principal problème des villes dépend de la région dans laquelle elles se trouvent et de leur taille. Certaines perdent leur habitants et manquent de médecins, d’enseignants et de commerces de toutes sortes. D’autres voient leur population exploser et manquent de logements abordables et le transport public. La pauvreté et l’inégalité existent partout, mais sont peut-être plus faciles à voir dans les villes qu’à la campagne.

  • C’est la même chose, la pauvreté et l’inégalité. Mais après onze ans de gouvernement conservateur, c’est de pire en pire. En 2010, il y avait 900 ‘food-banks’ en Angleterre, pour aider les familles et individuels qui n’avait pas assez d’argent pour le nourriture.  Maintenant, nous avons trois mille cinq cents ‘food-banks’. Et, a mon avis, un gouvernment le plus corrompu en Europe. Pardon Hugo et Anna et tous voutre étudiants, mais je suis tellement furieux et en honte a qui se passer dans mon pays en ca moment 😥 

  • En Israël il y a trois régions principales: le nord, le sud, et le centre. Le plus grand problème c’est l’inégalité des opportunité entre ces trois régions.

    La majorité de la population israélienne (53%) vit dans la région centrale, qui inclut Tel-Aviv et Jerusalem, les deux villes les plus grandes du pays. Dans cette région les citoyens ont accès aux pleine de possibilités d’emploi, ainsi qu’à une grande variété d’établissements d’enseignement. Par example, il y a beaucoup d’entreprises de haute technologie, surtout à Tel-Aviv et environs.

    La situation au nord du pays est assez différente. C’est plus difficile d’y trouver des emplois bien rémunérés. Cependant, il y a beaucoup plus d’espaces verts. Du coup, un grand parti du citoyens travaillent dans l’agriculture.

    Le sud est la région où la situation économique est la plus difficile. Le plupart d’emplois disponibles sont dans les usines. Comme dans le nord, il y a une manque d’emplois bien rémunérés. En revanche, le climat est beaucoup plus chaud et sec, donc c’est plus difficile de gagner d’argent en travaillant dans l’agriculture.

    En conclusion, il y a des différences assez significatives entre les trois région principales d’Israël, surtout des différences des opportunités économiques. Bien que ces différences diminuent progressivement, le rythme du changement n’est pas assez rapid pour les minimiser dans un proche avenir.

  • Dans les villes colombiennes a toujours existait des banlieues bourgeois ou riches et des banlieues pauvres. Avant, la majorité d’habitants qui vivaient dans des secteurs privilégiés
    étaient d’origine européen mais même si ça existe encore, ça a beaucoup changé. Aujourd’hui, il ya plus d’opportunités pour la population et il y a une classe moyenne qui est de plus en plus, plus grande. Néanmoins, dans les villes il y a des vols, des crimes, et de problèmes de drogues.

  • L’un des problèmes qui me dérangent en Angleterre est celui des sans-abri qui dorment dans la rue, alors que des entreprises à étages et des appartements coûteux sont construits autour d’eux. À Manchester et à Londres, la ligne d’horizon peut être remplie de grues. Je pense qu’il y a plus de sans-abri en raison des effets de Covid-19.

  • L’un des plus grands problèmes dans les villes de mon pays (Angleterre) est ne seulement le chômage dans les jeunes mais aussi le pauvres salaries pour ceux jeunes qui travaillent. Les jeunes n’ont pas l’argent pour d’habite indépendant de ses parents, et c’est très difficile d’acheter ou louver une maison ou autre logement. Cette problème est magnifie dans ma région (le sud-ouest) car plusieurs de personnes de Londres, et les autres grandes villes, achètent les maisons pour leurs deuxième domiciles ici… et par conséquent les prix augment encore plus. 

  • Je me souvenais beaucoup du film “Les Misérables”, de Ladj LY. Portrait de la désagrégation des structures sociales et de la violence en banlieue parisienne. Malheureusement, c’est une réalité mondiale, le résultat du système capitaliste.

  • En Suisse c’est probablement la plus grande problème, qu‘on a encore des lois très traditionelles. Par exemple les couples homosexuels peuvent pas marier où une femme gagne encore moins qu‘un homme. Mais ce sont des problèmes qui ne sont pas trop grave quand je compare avec des des pays plus pauvres…

  • Aux États Unis, il y’a tellement de problèmes dans les grandes villes qu’il est difficile d’isoler un problème qui est plus important que les autres. Mais je crois que le principal problème est le racisme. C’est le racisme qui mène à les autres inégalités comme le ségrégation résidentiel et l’inégalité éducatif. On dit que Le Sud a perdu La Guerre Civile mais qu’il a gagné la paix.

  • A cette époque, il y a une crise d’hébergement dans ma ville. Notre manière de vivre a complètement changé a cause de Covid 19 . Des milliers de personnes ont décidé de sortir les plus grandes villes pour habiter dans les régions et les villes plus petites comme la mienne. Donc, on ne peut pas trouver un appartement à louer et les prix augmentent chaque semaine. Également, il ya une manque de services et plus de circulation.

  • En Macau, il y a beaucoup des problèmes d’inégalité entre les résidents de Macau et les ouvriers (souvent, ce sont les personnes qui viennent des payes de l’Asie du Sud-Est) qui travaillent là avec un permis de travail et résidence temporaire. Je pense que, au niveau de loi, il y a vraiment des protections insuffisantes pour eux. D’ ailleurs, ils affrontent souvent des discriminations sociaux.

    J’espère que ça peut améliorer un jour, au moins au niveau sociaux. Maintenant, il n’y a pas beaucoup de chance de intégration pour eux, surtout en l’aspect de culture.

  • Aux États Unis, les problèmes dans les grandes villes sont très similaires à la crise des banlieues à Paris. La ségrégation des immigrés et les minorités, où ils habitent, c’est la cause des inégalités du travail et éducation. La ségrégation aussi permet que les gens avec plus de moyens peuvent ignorer la pauvreté qui existe à proximité.

  • Je vis dans une partie peu peuplée du Pays de Galles. Il y a des petites villes à proximité qui souffrent des problèmes des petites villes partout: pas assez de services et pas assez d’emplois. Il y a un problème de drogue avec quelques jeunes mais en géneral la vie est tranquille.Cependant les grandes villes du Pays de Galles ont les problèmes sérieux comme les autres dans le monde; le chomage, des drogues, le crime et la violence.

  • Dans ma ville la grande majorité des élèves dans les écoles publiques sont les noirs. Les élèves des classes superièures vont dans les écoles privées. Il n’y a pas assez mélange entre les classes sociales et pas assez d’intérêt pour education publique parmi les classes superières

  • Dans la grande ville ou j’habite, ce qui nous frappe tout d’abord juste maintenant, c’est la pendemie de Covid-19 et le Jeux d’Olympique. L’Etat et le gouvernement municipal de Tokyo ont envie de pratiquer le Jeux d’Olympique comme prevu au prix de tout. Mais ca peut causer un grand probleme qui rend Tokyo assez dangereux avec Covid-19.

  • Dans ma ville ici en Colombie-britannique, comme les autres villes principales au canada, on a une crise concernant une forte augmentation du prix de la maison depuis plusieurs années. Ce phénomène pose un grand problème parce-que les jeunes trentenaires, par exemple, ne peuvent pas acheter la maison ou un appartement pour fonder une famille. D’ailleurs, l’économie ici n’est pas aussi diversifiée. Le pire, c’est qu’on n’a pas vu l’augmentation de salaire suffisante en parallèle. On vis dans la ville où les riches jouent le jeu de l’immobilier.

  • Au Canada, je pense que le plus gros problème dans nos villes est le coût de louer et d’acheter une maison. La ville de Vancouver est la ville la plus chère pour louer partout de l’Amérique du Nord, et des lieux comme Toronto et Montréal et plus haut dans cette liste aussi. J’habite dans un village de taille moyenne, et même si ici il est trop pour beaucoup de nouveaux familles. Avec ces prix, il est très difficile d’investir dans l’immobilier, ou pour trouver un lieu de vie. Les gouvernements provinciaux et fédéraux du Canada ont pris des mesures pour dévaluer la marche, mais malheureusement, il semble que les mesures ne fonctionnent pas. 

  • C’était super triste d’éntendre la discrimination qui existe dans des banlieuses. Ça me rend triste le fait que des ados ne peuvent pas aller à l’université! Peut être c’était leur rêve de devenir un médecin… mais à cause de leur position dans la société ce n’est pas possible. 

  • Le problème principal dans les villes de mon pays est les inégalités. Les jeune n’ont pas assez des opportunities de developer leur capacité de trouver un bon boulot et ganger leur vie. Dans le ville, il y a de problème des drogues, violence et segregation. D’avoir un bon vie dans le ville, une famille besoin un plus élève salaire mais leur conditions dans la ville rend la chose plus difficile.

  • À mon avis, la répartition inégale entre les villes (et leurs quartiers) et les bonlieues des ressources matérielles, culturelles et économiques, de l’éducation et des opportunités constitue le principal problème. L’accès à un logement sûr et abordable, à des soins de santé, à une éducation de qualité et à un salaire décent varie considérablement d’une ville à l’autre et même d’un quartier à l’autre. Aux États-Unis, ces disparités transcendent souvent les frontières raciales et ethniques.

  • Aux États-unis, il y avait des mandates et des lois nuisible qui maintainer certains en pouvoir pendant bloquer les autres d’améliorer leur circumstances. C’est difficile pour les gens qui sont nés sans l’access de bon education et bon travailler de réussir alors le status quo ne change jamais. Les riches restent riches et les pauvres restent pauvre.

  • Quito est touche pour la migration, comme beaucoup des villes. Il y a montagnes qui on été envahis pour construir des quartiers qui on appele banlieues. Certains personnes construisent des maisons dans des lieux non autorisés et d’une manière désordonée, en raison du manque de ressources et à cause de la pauvreté. Puisqu’il y a nombreux tremblements de terre, de volcans, de glissements de terrain à Quito. Il est vraiment nécessaire de faire une étude de la terre avant de construire une maison dû eu fait que certains terres ne sont pas appropriés pour y construir. Malheureusement, certains familles sont décédés parce que leurs maisons ont été construites dans de zones dangereuses.

  • Moi je trouve le principal problème dans les villes de Royaume-Uni c’est le manque de communauté. Les gens ne connaissent pas leurs voisins et ils deviennent de plus en plus isolés. Si on connaissait les gens autour de nous, on serait tous plus solidaire.

    De plus, on a pas l’impression que ce soit assez sans danger que les enfants puissent jouer dehors en plein aire sans supervision adultes. Ça explique pourquoi nous sommes devant une crise d’obésité chez l’enfant.

  • Le manque de fonds publics dû à la corruption au nom du gouvernement de l’ANC est à l’origine des conditions de vie dans les townships (bidonvilles) et, aussi, dans les villes et villages de province d’Afrique du Sud. La surpopulation est également responsable du manque de services tels que l’eau, l’assainissement et l’électricité.

  • Le principal problème dans les villes aux Ètats-Unis est que ces problèmes ne peuvent pas être comptés.  😣  Il y en a trop! La plupart des problèmes restent négligés. Mais si on les distille, on peut peut-être se concentrer sur l’éducation. Si on peut créer un systeme où l’éducation est également accessible aux étudiants – peut-être que la pauvrété, les inéglaités, le chômage, etc., disparaîtraient pas à pas. 

  • Pour résoudre un problème il faut premièrement reconnaître qu’il y a vraiment un problème.

    Aux Ètats-Unis, selon des sondages, il y a un pourcentage terrifiant du population qui ne croit pas qu’il y a des inégalités pour les minorités, ou même des désavantages systématiques contre les noirs.

    Une exemple est la pratique de << redlining >> (dessinant une ligne rouge), qui dessine les sections d’une ville considéré comme moins souhaitable ; et les pauvres et les minorités sont efforcés d’habiter là, dans des ghettos sans des infrastructures, des magasins ou des lieu de loisir.

  • Lorsque les gents perdent leur identité ou leur importance dans la societé, parce qu’ils ne sont pas autorisés à participer, un esprit blessé se transforme en esprit en colére.
    C’est la même chose partout et avec tout le monde. Dans quelques années on comprendra peut-être mieux. Le capitalisme est à la foi un bénédiction et une malédiction.

  • Comme les autres ont dit, en Angleterre c’est l’inégalité qui est devenu – depuis Margaret Thatcher – de plus en plus pire. L’écart entre les riches et les pauvres est maintenant extrème. On a – avec de plus en plus de banques de nourriture (food banks?) l’impression que l’ Angleterre est revenu en arrière comme dans les temps Victorian. (Victorian times) . En plus il y’avait pendant longtemps un focus sur le Sud – Londres etc. et le Nord du pays a été oublié avec beaucoup de chaumage qui ammène à la misère et un accroissance en racisme. (blâmer le chaumage sur les immigrants) Donc une des grandes raisons pour Brexit..

  • En Irlande, pendant la crise économique autour de 2008/2009, de nombreuses personnes ont perdu leur emploi ainsi que leur maison. Le gouvernement n’avait pas construit suffisamment de maisons dans les années precedent et à cause de ça de nombreuses personnes se sont retrouvés vivre dans la rue ou dans des logements d’urgence très mauvais pour une jeune famille. C’est un problème très pressant, en particulier dans les grandes villes.

  • Au Brésil, il y a de nombreux problèmes dans les villes, comme l’inégalité entre les quartiers les plus riches, où les conditions de vie semblent être dans les pays développés, et les quartiers les plus pauvres, où la vie n’est pas facile et les gens ont des difficultés à accéder aux facilités basiques comme l’eau potable, bonnes écoles, logements salubres, etc. Il existe aussi de discrimination contre les gens qui viennent de ces locaux les plus pauvres. La violence est un problème très marqué, aussi, même si dans la ville où j´habite, São Paulo, il est possible de constater une certaine amélioration ces dernières années.

  • Aux États-Unis il y a beaucoup de problèmes. Je pense qu’au fond de tout c’est l’inégalité. L’inégalité d’éducation et d’opportunité pour les bons travails et bon logement. Il y a une concentration des gens pauvre dans certaine régions des villes. Mais c’est la même chose pour certains régions dehors des villes aussi. Beaucoup des régions de la compagne n’ont pas de bon éducation ni les opportunités. Ce sont des situations très complex et difficile de réparer.

  • À Toronto, il y a une problème avec le racisme aux gens de première nation. Canada à pris leur terre et il y a beaucoup de problems où le gouvernement prends plus de leur terre encore. Les système est entrain de changer mais il va prendre longtemps.

  • Il y a plusieurs problèmes au Nord-Ouest Ontario mais le problème principale se trouve avec les autochtones. C’est un problème de racism et de pauvreté. Ça existe depuis longtemps et c’est un problème qui continue de generation de generation sans solution.

  • Á mon avis, en Pologne, il y a beaucoup des problèmes comment dans l’autres payes. Meme si il n’y a pas des banlieues ou bidonvilles comme dan l’autres lieus, il y a aussi des gens très pouvres. Je peux pas compredre comment c’est possible que dans les XXI ciècles il a y toujours des gens sans le sales de bain ou meme sans WC !! C’est incroyable que il y a toujours ces types des problèmes dans le monde

  • Je ne peux pas conclure quel est le principal problème dans les villes du Brésil (il y en a tellement…) mais je pense que, tout comme en France, au Brésil on a un gros problème avec des banlieues, qui sont souvent des bidonvilles. Dans ces endroits, la majorité de la population est noire et pauvre, il y a beaucoup de criminalité, de violence policière, de chômage, des mauvaises conditions sanitaires, etc. Le Brésil est un pays très raciste et inégal.

  • À mon avis, le principal problème à Zurich où je vis, c’est la séparation des très riches et du reste de la société. Comme dans de nombreux autres endroits prospères, il est presque impossible pour les jeunes de louer ou d’acheter une propriété dans de beaux quartiers, qui semblent être réservés aux super-riches.

  • en colombie, le grand problems est le haut impôts sans sens parce qu’il n’y a pas bon education, ni sante, ni infrastructuret, tout l’argent est vole pour le goverment en face de le peuble. il y a beaucoup de difficulté pour entrepreneur ici en colombie. donc les affaire ilegal prédominant parfois il n’y a pas other option par survivre que ça.

  • Au Brésil, je pense qu’il y a une situation similaire a la situation française, l’inégalité.Peu de gens ont tout l’argent et beaucoup d’autres sont exploités et n’ont presque rien.Pour aggraver la situation, notre société s’est construite sur l’esclavage, ce qui a eu un impact énorme et a laissé des séquelles profondes sur la population noire et pauvre (être noir est presque synonyme de pauvreté, puisque 70% des personnes considérées comme pauvres sont en fait noires).

  • Aux États-Unis, il existe un cercle vicieux de pauvreté. Par exemple, les écoles sont financés par l’impôt foncier. Donc, les écoles dans une banlieue pauvre n’auront pas les moyennes de s’améliorer est la pauvreté est renforcée.

  • En Espagne, las villes ont souvent banlieus pauvres oú se concentrent les gens qui veulent vivre marginalisés (loin de la police) avec les gens qui ne peuvent pas payer beaucoup pour l’habitacion (car les loyers sont chers) et qui sont marginalisés aussi.

  • Au Japon, le principal problème est le faible taux de natalité et le déclin de la population. C’est pour de nombreuses raisons, mais les principales sont l’inégalité entre les sexes et la stagnation des salaires pour tous les travailleurs.

  • Au Canada, les plus gros problèmes dans les villes sont l’itinérance et la drogue, qui se combinent pour être un problème social dangereux pour les personnes de tous âges. Les individus consomment leurs journées à nourrir leur habitude.
    Le résultat à Vancouver, par exemple, il y a pendant la dernière année plus de décès par surdose de drogue que la pandémie de Covid.

  • Le principale problème c’est que les centres-villes sont orphelins. Une des raisons c’est que les gens font leurs courses digitales. On commande beaucoup de choses sur Internet. Ça est très pratique, ça fonctionne toujours: le lieu et l’heure n’ont pas d’importance

  • A Londres, Il y a une probléme d’inegalité. Le coût de logement est élevé, parce que les riches y achètent des biens immobiliers en tant qu’investissement financier. Nous avons aussi des banlieues où il est difficile de trouver du travail et où les opportunités pour les jeunes sont limitées. En 2011, il y a eu des émeutes, déclenchées par la police qui a tiré sur un homme qui s’est apellé Mark Duggan. Les émeutes sont se propagées de Londres aux villes d’Angleterre.

  • A Taiwan, l’un des problèmes des villes est le déséquilibre des ressources, par exemple l’éducation, le budget du gouvernement. La population de Taiwan est centralisée vers plusieurs grandes villes, en particulier Taipei, probablement parce que les grandes villes offrent plus de possibilités d’emploi. Les jeunes générations ont tendance à quitter leur ville natale et à vivre en milieu urbain. Au contraire, en banlieue ou en campagnes, il y a moins de gens qui veulent y travailler et y vivre. Par conséquent, pour gagner sa vie, pour avoir une meilleure éducation, une personne pourrait avoir besoin d’aller à Taipei et de rivaliser, et le reste des campagnes a moins d’élan pour passer dans un meilleur endroit.

  • Les villes brésiliennes ont aussi leurs “banlieues”, mais la precarité social est plus grave ici car il y a les grands bidonvilles où les habitants vivent dans l’lextrême pauvreté.Malheureusement, pendant la pandamie, la sitution s’est deteriorée. À mon avis, plus l’inégalité est grande, plus la dégradation social est grande.

  • Ici au Danemark on a les mêmes problèmes qu’en France. Mais à plus petite échelle. Il y a de la discrimination contre les immigrés et aussi problèmes de radicalisation. C’est une spirale négative. Quand on se sent rejeté et discriminé on rejet la société – et la réponse est souvent la criminalité et la violence, ce qui confirment l’image négative.
    Nous avons aussi des problèmes de pauvreté à la fois matériellement et spirituellement.
    L’inégalité est un problème urgent et croissant.
    Mais comparé à beaucoup d’autres pays c’est quand même beaucoup moins grave chez nous.

  • La situation dans les villes d´Autriche est pareille à la situation parisienne, mais moins grâve. Il y a aussi des banlieues avec beaucoup de gens pauvres et immigrés. En plus, il paraît que cette situation est difficile de changer parce que c ´est un cercle vicieux, comme une personne a déjà écrit dans les commentaires: en general des enfants des parents qui sont déjà pauvres ou des gens immigrés (ou des autres groupes défavorisés) gagnent peu d´argent et il n´ont pas beaucoup de différentes possibilités pour habiter. Alors il faut souvent rester ou déménager à ces banlieues; c´est ce qui ferme le circle vicieux.

  • Au Brèsil, il y a beaucoup de problèmes et beaucoup de pauvréte. Il y a des “favelas” (bidonvilles) là-bas, qui sont petit maisons sur endroits qui ne conviennent pas a la construction et, normalement, sont sur la périphérie. Dan les bidonvilles il y a beaucoup de problèmes sanitaires aussi.

  • Aux Etats-Unis, un probleme’ majeur dans la campagne, dans les banlieues et les grandes villes est la drogue. De plus, de nombreux jeunes passent beaucoup de temps sans surveillance parentale. On voit de plus en plus de familles monoparentales et aussi une augmentation de pauvrete et du decrochage scolaire.

  • À mon avis, un problème omniprésent (dans les métropoles, les villes mais aussi les villages, en Allemagne mais aussi ailleurs) est le fossé entre les riches et les pauvres. C’est dans un cercle vicieux où ils se trouvent les SDF qui ne trouvent ni de boulot sans un abri, ni de logement sans un boulot.

  • En Russie, ces zones résidentielles autour des grandes villes sont appelées “zones de couchage”. Et il y a presque les mêmes problèmes qu’à Paris, seule la population principale y est originaire d’Asie Centrale: Tadjikistan, Ouzbékistan, etc.

  • Le problème le plus important à Berlin est celui des loyers élevés. En Allemagne, près d’un appartement sur deux est un appartement de location, en France seulement un sur trois et en Pologne seulement un sur six. Surtout dans les grandes villes, les appartements sont trop chers. 

  • Je habite a Berlin, et ici on trouve également le phénomène de “banlieue”. Les gens qui se trouve par la na pas beaucoup de motivation de avancer parce que il n’a pas education suffissent pour voir comment ce possible. Je crois que cette inégalité expose plus grand problème de société, quand cette situation reste non résolu pendant plusher année.

  • Je crois que le manque de bon travail serait le plus grand problème dans ma ville de Chicago. Il y a beaucoup de travail professionnel et pour eux la vie est très belle, mais comme en France, c’est très difficile pour les autres. 

  • J’habite en nouvelle Zélande et on a des problèmes similars. Il y a des inégalités entre des gens indigènes, des peuples qui viennent des îles de Pacifique du sud et les outres immigrés souvent.Le trou entre les riches et les pauvres continue d’augmenter. Notre government leur accorde des subventions mais il y a encore beaucoup de travail de faire pour améliorer la situation.

  • Je vie en Suède, et je trouve que la situation ici ressemble beaucoup à la description que Hugo nous donne, mais nous avons mieux entretenu les immeubles et les écoles. Alex Ahrendtsen a décrit la situation danoise très bien. C’est la même chose ici sauf que la politique danoise, chi est meilleure que la nôtre.

  • Depuis 15 ans, j’habite dans un quartier populaire où la grande majorité des habitants vient de l’étranger. Environ 60 pour-cent sont musulmans. Malgré l’assistance sociale massive et les projets sociaux à fin d’aider les habitants, le taux de chômage est plus haut que chez les danois. Les gangs sont très menaçant, font des violences et se font de guerres entr’eux. De temps en temps, il y’a des émeutes. Ce n’est pas la pauvreté qui cause les problèmes parce que ils ont a un bon niveau de vie grâce aux prestations sociales extensives. C’est pourquoi le parlement a adopté une loi qui force les municipalités à transformer les quartiers populaires en démolissant une grande part des immeubles et en construisant des quartiers plus divers.

  • Je pense qu’il y a beaucoup de pauvrété et d’inegalité dans les villes du Royaume-Uni. Il y a des gens sans domicile fixe et beaucoup de familles monoparentales. Et pendant la pandemie plus en plus de gens utilisent des banques alimentaires.

  • J’habite à Cracovie, à mon avis, le plus gros problème dans ma ville est la pollution de l’environnement. La situation est très grave en hiver, lorsque la saison de chauffage commence. Actuellement, la qualité de l’air s’améliore grâce à des solutions légales spécifiques. Vous ne pouvez plus fumer avec du charbon, les exigences sont très élevées. Cependant, ces exigences s’appliquent à Cracovie et non à la région environnante, nous attendons donc de nouveaux changements.

  • En Allemagne, en général nous n’avons pas de problèmes aussi graves avec les banlieues qu’en France. Cependant il y a aussi des quartiers problématiques avec un chomâge et un taux de criminalité élevés. Ces quartiers ne se trouvent pas nécessairement à la périphérie de les villes.

    Mais il y a une tendance qui s’appelle “la gentrification”, ça veux dire que ces quartiers pauvres mais jolis et non trop chers devient peu à peu attrayants pour les étudiants et les jeunes familles. Avec eux viennent la culture, les restaurants etc. ce que pousse les prix et les loyers à la hausse. Par conséquence, les habitants d’origine sont déplacés parce que ils n’ont plus les moyens d’y vivre.

    En général, le logements en Allemagne sont rares et chers parce qu’on construit trop peu de logements sociaux.

  • À mon avis, l’un des plus gros problème dans les villes russe c’est que l’espace est mal organisé. Il n’y a jamais assez des places pour parking dans les cours des grandes immeubles, et par conséquence l’espaces se dégradent: les propriétaires des voitures garent n’importe y. Aussi il n’y a pas assez des zones verts, et c’est parfois vraiment déprimant.

  • L’inégalités, des ‘drugs?’ et la criminalité ont tous effects en société, aujourd’hui. Je pense que dans le monde développé, le ‘gap’ entre les riches et les pauvres, est deviennent plus grand et donc plus facile à voir. Je voir plus et plus gens qui dorment dehors (homeless?) dans nos villes. Dans le monde moins développés, tous les gens ont une vie très dur et moins des droits.

  • C’est une bonne question. Je ne pense pas que il y a le même probleme avec des inégalités en Canada comme France ou l’Etais Unis. Mais, il y a beaucoup des personne qui hériter beaucoup de l’argent et achéte ton place dans travail et deviens les patrons, parce que ils ont tout les opportunities parce que ils ont l’argent. Et qui que ce soit l’argent arrive a l’inventer le monde.

  • Je crois que l’inégalité est de plus en plus visible en Pologne mais elle n’a pas la même taille qu’en France. J’habite dans un banlieu construit en 1989 avec beaucoup d’espace, les distances entre les immeubles sont grandes. Mais à côté ils ont commencé a construire des maisons qui sont très jolies, c’est vrai, mais il y en a trop! C’est que de maisons! Je n’aime pas cas du tout.

  • J’habite à San Francisco, et je dirais que le principal problème dans les villes, c’est l’inégalité entre le riche et le pauvre. Les gens sans abri ont besoin d’aide, mais dès qu’un politicien essayer de construire plus d’immeubles pour les habitants pauvres, le riche devient en colère (ils s’inquiète que le valeur de la propriété réduira). Il y a des programmes pour les aider, comme des refuges ou des places qui donnent la nourriture, mais ce n’est pas assez pour résoudre le problème de pauvreté. Pareil dans la vidéo, les banlieues loin de la ville principale ont les problèmes avec le pauvreté, un mauvais système d’éducation, et le crime dans certains lieux. Je suis né dans une ville plutôt riche, donc j’ai eu une meilleure éducation, vivant dans un quartier sans danger, avec beaucoup des ressources publiques, mais je connais ceux qui n’ont pas eu la chance.

    Mon point en bref, c’est que les gens pauvres ne reçoivent pas assez d’aide, et les gens riches ne donnent pas assez d’argent au gouvernement ou aux programmes sociaux. Il y a trop de personnes qui sont pauvre pendent le riche devient plus en plus riche.

  • C’est comme Paris; trop de pouvoir à la capitale. Les média ne parlent que de Tokyo. D’ailleurs la croissance de population ne s’arrête pas du tout là-bas, qui comptabilise à présent 12 millions (contraire de Paris où la population diminue). Beaucoup d’administrations s’y situent ,comme d’autres capitales. En outre, les educations, le nombre de magasins…le niveau de la vie est tout le meilleur à Tokyo, alors que dans la compagne, le vieillissement est un grand problème(aussi contraire de la France où le taux de natalité est beaucoup plus élevé que celui de Japon.)

  • Un problème qui est évident au Royaume-Uni est la difficulté éprouvée par les jeunes en gagnant leur indépendance, grâce à la coûte très élevée des loyers. Acheter leur propre appartement ou maison est encore plus difficile. Pour cette raison, beaucoup d’eux restent dépendants de leurs parents pour une période prolongée. Ce problème est plus aigu dans les grandes villes ou un déficit de logements à prix raisonnable se manifeste partout.

  • il y a les mêmes problèmes dans les grandes villes qu’en Angleterre. Il y a les banlieues très pauvres que le gouvernement oublie. Je pense que le problème vient de l’attitude des fonctionnaires qui ne savent rien de la vie en dehors de leur vie

  • À mon avis, le pire problème aux villes d’américains est le prix d’immobilier en rapport des opportunités de travail. C’est facile à trouver un appartement si on est bien éduquée et travaille dans un métier bien rémunéré. Pourtant, pour le plupart de peuple, il y a de moins en moins opportunités pour gagner la vie dans une manière confortable ou pour trouver un bon appartement, dans un quartier favorable près de leur lieu de travail.

  • À part Covid-19, la situation aux États-Unis est semblable. Les pauvres deviennent plus pauvres. Les riches deviennent super riches. Ce contraste augmente. Il a augmenté dans les 4 années précédente en partie du fait des incitations constantes du Président Trump. Il y a maintenant de l’espoir que le Président Biden mettra en place des solutions raisonnables.

  • Dans les grandes villes, le problème principal est l’inégalité. Comme dans les banlieus parisiennes, il y a des cités autour des grandes villes néerlandais aussi. La vie pour les habitants des banlieus est assez difficile. Il y a la pauvreté, le chômage, la criminalité etc.

  • Pendant les anées 1970s, plusieurs pays européens et les États-Unis ont fait la même expérience – une crise economique. Cette crise se sont degradées les inégalités et, à cause de ça, aux États-Unis les villes sont devenues de moins en moins peuplé par des personnes qui gagnaiet plus d’argent, et donc, il y avaiet de plus en plus de la pauverté dans les villes. C’était un peu comme en France avec les banlieus. Et en suite les résultats étaient similaires aux États-Unis – mauvais d’infrastructure dans les villes, la pauverté est augmenté, et il y a aussi des injustices raciales. Heurusement, depuis environ les anées 1990s et l’année 2000, les villes ont fait l’expérience d’une rénaissance chez nous, mais, malheurusement, cette rénaissance n’a pas compris tout le monde.  

  • Le principal problème à New York, c’est la ségrégation et le déséquilibre des ressources. Et cela est vrai pour toutes les villes aux Etats-Unis. Notre histoire d’esclavage, de racisme, et de suprématie blanche (qui bien sûr continue aujourd’hui) a crée un gros déséquilibre entre des parties différentes de la population. Le problème est aggravé par le prix de vie très haut, l’embourgeoisement, et les programmes publiques insuffisants. Depuis les années 80s, les villes sont faites pour les riches, mais elles sont encore la résidence de la classe ouvrière, des pauvres, des immigrants, et de vraies artistes. J’espère que, un jour, les villes reconnaitront leur responsabilité à leurs vraies citoyens.

  • J’ habite à Santa Barbara en Californie. Le principal problème ici à mon avis est la discrimination. Beaucoup de gens viennent à cette ville de leurs rêves de Mexico. Ils/ Elles essayent de trouver un bon travail, une nouvelle vie ( en rose). Malheureusement ce n’est pas du tout le cas. Ils/Elle’s deviennent les ouvriers qui servent les riches. La plupart ne parlent pas anglais. Pour cette raison ils/ Elles ne gagneront jamais assez d’argent pour nourrir leur enfants ou pour les envoyer à l’ université. Á mon avis la majorité sont très gentils. Notre gouvernement doit les aider. Heureusement nous avons un nouveau président qui sera les intégrer dans la société américaine j’ espère.

  • Au Canada, dans les grandes villes, le prix du lodgement est trop élevé. Le salaire minimum est trop bas pour payer la nourriture et le lodgement.
    MPs du Parti Vert et du Nouveau Parti Démocratique et certains MPs du Parti Liberal ( mais pas notre PM) font pression pour une salaire viable universal pour tous.
    Il y avait un projet pilote à ce sujet en Ontario qui a montré que les gens continuaient à travailler même lorsqu’ils recevaient ce revenu garanti. De plus, augmentation de la capacité d’achat était bonne pour l’économie et la criminalité était réduite.
    Malheureusement, lorsque le Parti Conservateur est arrivé au pouvoir en Ontario, il y a quelques années, il a annulé ce projet pilote.
    Il est possible que le gouvernement fédérale essaie cela un jour. Actuellement, une pétition circule sur FB et autre media sociale pour ce revenu garanti.

  • Maintenant j’habite à Luxembourg ville. Le principal problème est le prix du loyer ou acheter une maison. C’est une petite ville mais beaucoup de gens veulent vivre ici. Parce qu’il y a beaucoup de travail qui est bien payé (le salaire médian par ménage le plus élevé au monde). Il y a des institutions européens et financières. C’est pourquoi, la population et la demande d’immobilier augmente fortement (et le prix d’immobilier).
    Parce que le prix d’immobilier est plus bas en France ou en Belgique (juste à travers la frontière), il y a beaucoup des frontaliers.
    Certains gens comparent les prix avec les autres grandes villes comme Londres ou Paris. Mais ils oublient que Luxembourg n’est pas une grande ville. Et si les institutions européens et financières partaient, Luxembourg n’aurait aucune importance.
    Et oui, c’est vrai les salaires sont hauts. Mais quand on n’a pas la chance d’avoir une grande salaire, c’est impossible payer le loyer ici.

  • J’habite en Nouvelle-Zélande où les problèmes sont un peu différents. Le plus gros problème concerne le logement. La population à augmentée récemment à cause d’ immigration et le prix de logement dans les villes est inabordable pour le plupart des jeunes. Le chômage est environ 5% est il y a un manque de travailleurs agricoles. La vie est souvent plus difficile pour les indigènes, les Maori, qui sont en général plus pauvres.

  • Les problèmes des banlieues sont similaires à nos problèmes aux États-Unis. Ici à Boston, nous avons de nombreux appartements de luxe, mais très peu de logements abordables. J’écoute aussi le podcast # 38. Les différences entre la France et les États-Unis pour les immigrés étaient très intéressantes. La France a une culture et de vieilles traditions. Aux États-Unis, la force de notre culture vient des immigrés qui apportent leurs traditions avec eux: Little Italy, Chinatown, etc. J’ai vraiment besoin d’une Petite France dans ma ville!

  • Il y a beaucoup de villes aux Etats-Unis parce que le pays est immense. Avec beaucoup de villes viennent beaucoup de problèmes comme partout au monde. Mais ici en Nouveau Mexique, nos problèmes sont un peu différentes à cause de notre population. Notre état est à presque 1/3 anglais, 1/3 hispanique, 1/3 américain natif. Les américains natifs y ont habités depuis 1,000 ans mais ils sont pauvres. Leur ancien moyen de vie n’est plus possible mais c’est la vie qu’ils préferent. Pour la plupart, les autres gens de NM apprécient les américains natifs qui font les bijoux extraordinaire d’argent et de turquoise, et beaucoup d’autres arts. Mais la pauvreté est toujours triste. On veut l’améliorer mais comme au monde, la pauvreté, qu’importe la raison, est presque impossible éliminer.

  • J’habite en Angleterre. Je suis heureux de ne jamais avoir habitée dans les pauvres banlieues d’une grande ville. J’habitais seulement dans les maisons d’ouvriers à Londres et, puis, à Brighton. Mais en ce moment ils sont considérés comme appartenant à la classe moyen. Et ça continue pour moi aujourd’hui. J’habite près des grands tours résidentiels à Brighton, mais nous partageons les mêmes magasins, les mêmes écoles, les mêmes parcs, et en générale, les autorités s’occupent bien les bâtiments.  De cette façon nos différences diminuent.

  • Bonsoir, je suis étrangère ici en Espagne mais les problèmes dans les grandes villes sont très différentes que ceux dans les capitales des les provinces loin de les grands centres. Ici il y a beaucoup de dépopulation et des villes qui vont perdre des habitants chaque année. Le chômage est l’autre problème très exténué partout. Mais je peux ajouter que c’est un pays avec beaucoup de sérénité et les gens sont gentils. Je vous embrasse très fort. ~ Diana

  • En Espagne on a un grand problème de bâtiment. Il y a beaucoup de bâtiment vide et beaucoup de families que n’ont pas de maison pour vivre. Le loyer ici est très chère et depuis la crisis de 2008 il y a beaucoup de families que ne peut pas payer l’hypothèque.

  • À Melbourne, en Australie, en générale, relativement, je pense nous avons une bonne qualité de vie.
    Si je dois faire une liste, je dirais que le fait que le gouvernement a encouragé la croissance de la population par immigration (en avion, avec argent, pas ceux qui cherchent asile – c’est une autre histoire) sans développer l’infrastructure de la soutenir est un problème.  Par exemple, le transport en commune devenait insuffisant avant la crise sanitaire (moins de gens osent le prendre en ce moment) ; et il y a eu une augmentation de personnes sans abri (intéressant de voir la vitesse qu’on les a trouvés des logements pendant le confinement) ; et des attentes pour des hôpitaux publiques sont devenues plus longues.
    En plus, nous avons un système d’éducation privé qui affront celui publique et qui a le potentiel de créer un décalage entre ceux avec l’argent et des opportunités et ceux sans.

  • Au Royaume-Uni, nous avons le même problème de pauvreté et de manque d’emploi, de bonnes écoles, etc. dans nos centres-villes qu’en France, mais nous avons aussi un problème de logement qui, je pense, est différent de celui de la France. Le prix des maisons est très élevé, surtout dans le sud-est du pays, et il est donc très difficile pour les jeunes familles de se les offrir. Cela s’explique par deux raisons.
    D’une part, de nombreuses personnes ont acheté une deuxième maison pour la louer et gagner de l’argent, de sorte que le logement est devenu un investissement plutôt qu’un lieu de vie et est devenu tres difficile de trouver au bon prix.
    D’autre part, nous n’avons pas assez de logements sociaux, de sorte que la plupart des gens doivent utiliser le secteur privé et donc payer des loyers élevés ou consacrer une grande partie de leur salaire à paiement de l’hypothèque.

  • Il n’y a pratiquement pas de banlieues à problèmes en Finlande. Cependant, le fossé entre les riches et les pauvres se manifeste par de longues queues d’attentes alimentaires où les surplus sont distribués.
    Actuellement, le problème est la grande quantité de neige dans les villes. Les voitures en stationnement devront être transportées à l’écart des chasse-neige.

  • Aux États-Unis le plus grand problème dans les villes est toujours la ségrégation en général entre les gens de couleur et les gens blanc. C’est part du racisme systèmique qui existe dans notre pay.

    Le gens différents vivent généralement dans des quartiers séparés, aller aux écoles différents (souvent des écoles privées contre les écoles publiques). Il y a même le concept des <<déserts alimentaires>> souvent dans les villes oú les gens pauvres se trouvent, où il n’y a aucun vrai épicerie disponible proche.

  • Au Japon, le principal problème peux aussi être pauvreté. Je crois que la difference de la riche est pauvreté est devenue de plus en plus après de la crise économies en 1990. Beaucoup de entreprises ont commencé embaucher forme de CDD (contrat à durée déterminée). En 1984, il y avait seulement 15% de CDD, mais ça augmenté jusqu’à 37% en 2017! En conséquences, les gens ne peut pas gagner beaucoup, et moins de sécurité sociale, en plus, les jeunes ne peuvent pas planifier leurs futures.

  • Je pense que j’ai beaucoup de chance de vivre a Narrabeen sur les plages du nords de Sydney, Australie. Nous avons relativement peu de problemes ici – pas de chomage, pauvrete et violence. Australie, en general, est le pais chanceux, a l’exception des refugies qui arrives par bateau. Je sens tres triste pour eux.

  • Le principal problème dans les villes Russes c’est la corruption énorme, il n’y a pas d’argent et le gouvernement ne fait rien, il continue de voler de l’argent et les villes restent soviétique, il n’y a rien de nouveau en construction.

  • Je pense que le principal problème dans les villes d’Angleterre c’est la pauvreté: ca c’est le résultat des autres problèmes comme tu as expliqué dans le vidéo, comme une education pauvre et le manque des emplois; et c’est la cause des autres problèmes, par exemple, la consommation de drogues, la crime et la violence. Si on est pauvre, c’est difficile d’ameliorer sa vie ou d’échapper l’environnement ou on se trouve.

  • Aussi dans les grandes villes italiennes il y a des banlieues caractérisées par pauvreté et criminalité. Le sentiment d’être abandonnés par l’État est commune ici et surtout dans lesquels au Sud du pays. En fait, en Italie, il y a un gap parmi le Nord e le Sud du pays, qui a origines très anciennes et aujourd’hui n’est pas ancore dépassé. Le Sud se sent oublié par l’État, pas vraiment present ici depuis l’Unification. Chômage, manque de infrastructures et de chances pour l’avenir amènent beaucoup de personne dans cette banlieues à vivre en marge de la vie sociale. Je pense par exemple à un quartier très dégradé de Naples, “Scampia” où souvent le jeunes finissent dans les mains de la criminalité organisée. Son symbol était longtemps un complexe résidentiel appelé “Le Vele” (en français “Les Voiles”). En février 2020 il a été démoli, mais ça va changer vraiment quelque chose?

  • En Irlande le prix d’habitations (maisons appartements) où il y a de travail est une vraie problème aussi – pour les jeunes et pour nombreuses gens sans aide des familles qui gagnent bien leur vie.
    Mais il y a un petit éspoir. Le virus on fait réaliser que c’est possible pour quelques personnes de vivre loin de leur travail. Dans le paysage de l’ouest le prix d’habitations est très différent et il y a une bonne mode de vivre. Peut-être l’exode – principalement de Dublin – va, au moins, y stabiliser le prix de l’immobilier.

  • J’habite près de San Francisco et il y a beaucoup d’itinérance et les banlieues sont aussi très chères et pauvres. L’un des problèmes est que à cause de la politique et des gens, personne ne veut laisser construire des nouveaux gratte-ciels dans leur quartier. L’autre problème est qu’il n’y a pas suffisamment de services et il y a beaucoup d’embouteillages.  L’inégalité est profondément ancrée dans la ” SF bay area ” et maintenant il y a un groupe qui utilise des apps/applications dans lesquelles on peut créer une réunion uniquement pour les invités de même mentalité, sans avoir invité des gens de couleur ou de positions économiques variées, et comme ça ils répandent des mensonges/de la désinformatinon et les font se propager dans la société.   Ils aimeraient voir des politiques sévères et répressives contre le crime et c’est ça qui intéresse la minorité très riche. Ils veulent que l’argent soit disponible pour les prisons au lieu des services.  Quand on est ancrés dans notre idéologie on ne peut pas voir ou penser en dehors de notre bulle et ces gens agissent dans leur propre intérêt.

  • En Italie, nous avons les mêmes problèmes dans les banlieues. Par example à Palerme, il y a le quartier ZEN, dont vous pouvez imaginer les implications si vous allez chercher sur internet des photos de son architecture. Mais la politique locale ne fait pas grand-chose avec les quartiers pauvres, en fait, elle les laisse souvent tels qu’ils sont.. puisqu’ils sont considérés comme un réservoir de votes faciles. 

  • J’habite aux États-Unis près de San Francisco. Ici, le prix d’une maison est beaucoup trop cher pour la plupart des gens, même pour ceux qui travaillent dans des entreprises comme Google. A mon avis, il n’y a pas assez d’investissements dans les constructions immobilières (appartements, etc.).

  • J’habite à Philadelphie. Avant la covid, il y a des problèmes, mais il y a aussi des projets projets pour améliorer l’éducation, le logement, etc. Mais maintenant, la ville doit se battre plus de pauvreté et le fait que des business sont fermer. Tout devient pire et j’ai peur pour notre ville. 

  • Aux États-Unis, je vis dans un petit village qui s’appelle Haddonfield au New Jersey. C’est un village ou les gens sont relativement riche et il y a que des gens blanc.
    Je pense que le crime est absent, et la qualité de vie est assez bien. Mais quand on conduit seulement 10 minutes de ce village, on arrive en Camden. Cette ville a une réputation  nationale très mauvaise. On ne doit pas y aller après 6 heures de soirée quand il est très dangereux. Les gens qui vivent là sont pauvre et ils n’ont pas des qualite en vie
    L’inégalité est profondément ancrée dans la société

  • En ce moment, le plus grand problème c’est le gouvernement en Biélorussie. Parce Que chaque année ils ajoutent plus en plus des loi qui nous faire payer pour tout, par exemple la taxe de chômage, si tu ne travailles pas tu dois payer. Ou les prix, ils augmentent chaque mois et en quelque produits même chaque semaine, mais les salaires n’augmentent pas du tout. Apres les derniere elections de président le plupart de gens a choisi le nouveau candidat mais a cause de la falsification on a la même président pendent 26 ans. Tout le monde est contre et on proteste, tout le pays, et les policiers tuent les gens et les mettent dans les prisons, même s’ils ne protestaient pas, alors c’est un grand problème pour tous en Biélorussie.

  • À Santiago du Chili, où j’habite, on a le même problème. A coté de notre ville, il y a beaucoup de pauvreté, car, dans les années 60, tous le monde sont venus a vivre a la ville parce que ils ont cherché des meilleur qualité de vie. Donc, la ville a eu un croissance explosif, et il n’y a avais pas sufficient d’argent pour construire des maisons pour tous. Depuis les années 90, les differents gouvernements ont constrú beaucoup des appartement et maisons, mais la qualité de vie la n’est pas bonne pas qu’il n’y a pas suffisent de services et le transport a été horrible jusqu’à 2007, quand on a échangé notre system de transport.

  • Au Brésil, la pauvreté et les inegalités , que sont liées, ce sont notre problème le plus grave. Et, il est aggravé a cause da la pandemie. Les causes sont complexes et anciennes… Pendant prés de quatre siècles, on a produit, sur grandes propriétés et avec la main-d’oeuvre esclave africaine e indigène, que pour les intérêts des marchés internationaux. La liberation des esclaves s’est faite sans aucune politique d’intégration! Puis, l’arrivée d’immigrants européens pour les remplacer , cela s’est aussi fait sans lois du travail, sans de bonnes écoles … Enfin, pendant des siècles nous avons fait croîte une masse d’exclus. La précarité de l’enseignement public n’aide pas à ce que les gens élisen et soutiennent de meilleurs gouvernements (car, bien sur, un vrai changement demande du temps, de la tolérance, des sacrifices…) Au contraire, la corruption est alarmante… et, c’est ça aussi ce que interésse a la minorité três riche, que suivre, chaque jour, plus riche.

  • Je suis anglais et j’habite à Londres. Le plus grande problème en Angleterre, a mon avis, est la inégalité entre les gens riches et pauvres. Les plus pauvres vivent en largeur en le nord ou les cotes d’Angleterre, les lieux les plus déconnecté des plus grande villes. Dans ces régions il y a pas beaucoup de travail qui paye bien. Il y a des gens qui ont le travail mais ils ne gagnent pas suffit pour avoir un bon style de vie. Dans le sud du pays, et en particulaire à Londres, il y a beaucoup de personnes riches. Nous sommes à besoin d’un gouvernement plus disposé de redistribuer l’argent d’état dans tout le pays!

  • En Isrël la plupart des jens veulent vivre a proche du Tel Aviv q’il y avait beacoup les opportunités pour travaille et activités de loisirs, le reste du pays est tres inoccupé. Naturellement , la niveau de éducation el la médicine autour le Tel Aviv region sont de meilleure qualité que de reste des regions du pays.

  • J’habite à Tallinn en Estonie. A mon avis, un de plus grands problèmes ici est la même que à Paris. Les quartiers ne sont pas mixtes. Il y a certains quartiers ou les plupart les habitants parlent seulement russe. C’est très difficile de les intégrer dans la société Estonien quand ils vivent dans leur propre bulle ou c’est possible de bien se porter sans aucune connaissance d’estonien. Il y a aussi beaucoup de barres d’immeubles soviétique qui se sont dégradés car il n’y a pas d’argent pour les entretenir et aussi la volonté commune pour faire un emprunt à la banque pour obtenir l’argent.

  • Je viens d’une ville de Colombie appelée Cali. Cette ville compte environ 3,5 millions d’habitants. Malgré le mélange de quartiers riches et pauvres. Pour les pauvres, il est très difficile d’avoir accès à l’éducation. Il y a beaucoup de problèmes de drogue, de vol etc. Je pense que tous ces problèmes sont liés à l’inégalité

  • Pour moi, c’est d’avoir suffisamment de logements (abordables). Je vis avec ma famille dans une petite ville dans le sud de l’Allemagne. Ici, beaucoup de familles doivent se déplacer vers les villes voisines car il n’y a pratiquement pas d’espace/logements abordables de vie ici. Ils ont donc un chemin plus long à faire pour aller au travail, soit en voiture, soit avec des transports publics.

  • Pour nous a sacramento en Californie, je pense que le problem le plus grand est des gents SDF. Il y a des solutions qui marchent d’ailleurs. Par examplé on peut créer des communautés pour ces gents où chaque personne a des responsabilités pour maintenir et soutenir les bâtiments et les autres personnes. Mais Ici on continue à jeter les services à cette communauté, qui croît exponentiellement, sans donnant les utiles à se lever de la pauvreté et l’itinérance. Ces gents ont leur dig i

  • Dans mon pays natal – Vietnam, à mon avis, il y a plein de problèmes dans la société mais le principal problème, qui est aussi le plus énervant, est l’embouteillage dans les grandes villes. À Ho Chi Minh Ville – la ville la plus grande et peuplée au Vietnam, il existe des bouchons catastrophiques partout, en particulier au centre de la ville, à l’heures de pointe et même hors l’heures de pointe. J’ai l’impression qu’il y a tellement de véhicules et de gens dans les rues que le ralentissement n’arrête jamais toute la journée, sauf pendant quelques heures après minuit. Les gens là bas ne respectent pas la code de la route et sont toujours prêts à combattre n’importe quand un accident a lieu. C’est désastreux!

  • Apart de le transport public à Berlin, les transport publics dans la plupart des villes allemandes ne sont pas suffisament dévélopés ou trop chers. Comme ça la majorité des gens prend la voiture pour faire la navette et pas les bus ou le métro.
    Peu de villes font suffisamment d’efforts pour réduire l’utilisation de la voiture et promouvoir des modes de transport alternatifs comme le vélo. Il y a villes comme Münster, Osnabrück ou Freiburg dans laquelles c’est vraiment une plaisir de faire du vélo. Mais en Francfort se déplacer en vélo peut être l’enfer.

  • la description des banlieus en France est très honnête et je sens que hugo est très honteux de cette situation.
    moi aussi, je suis affolé avec les réactions des jeunes sur les mesures du gouvernement en hollande à l’égard de la crise de virus. on ne connait pas de grandes émeutes comme la France.
    je ne comprends pas tout d’éclats mais dans beaucoup de commentaires je décèle que la tendance de la politique neo-liberale contribue beaucoup à la situation présente.

  • J’habite en Colombie-Britannique au Canada. il y a deux principal problème ici. La crise des personnes sans-abri et la crise de fentanyl. Beaucoup de gens ont les deux dans le même temps. C’est vraiment horrible. Les villes ont de plus en plus. J’habite dans une plus petite ville, et il y a en ici.

  • L’un des problèmes principal au Canada est que beaucoup de personnes quittent les petites villes pour trouver un emploi dans les grandes villes. En conséquence, de nombreuses petites villes meurent alors que les grandes villes deviennent surpeuplées avec moins de services.

  • Sûrement, chez nous aussi ce sont les prix d’immeubles et de logement, qui font des problèmes. Ils sont augmentés énormément dans les grandes villes, là où on trouve les meilleurs postes de travail et même dans les régions autour de ces villes. À l’autre côté, la population baisse au régions décentrales et rurales, surtout dans l’est de l’Àllemagne.
    Le développement des prix est aussi renforcé par l’inégalité des fortunes qui augmentent de plus en plus. Et à cause des intérêts bas il y a des gens fortunés et des sociétés de placement qui veulent investir leurs capitaux en acheter des immeubles.
    En plus il y a des gens qui possèdent deux appartements ou qui habitent dans un trop grand appartement, par example quand les enfants ont quittés la maison.

  • Je pense il y a un grande problem dans les villes de l’UK. Le personnes qui a le problem dans leurs vie ils ne donnent pas l’aide quand ils ont besion. Au Lieu, ils sont traités comme des criminels ou ils sont transformés en criminels quand ils etiaent les enfants et
    ils deviennent piégé dans une vie de pauvreté!

  • J’habite à New York City et les problèmes ici sont très similaires, mais pas aussi graves aujourd’hui. Par contre, dans les années 1970, les choses étaient pires.
    Heureusement on est de plus en plus conscient de ces problèmes dans tout le pays, mais il va être très difficile de les résoudre.

  • C’est une situation assez similaire ici en angletterre. à londrès il y a des endroits au periphique de la ville ou la plupart de la population sont des familles pauvres and défavorisés
    Je pense qu’avec la mouvement ” Black Lives Matter” quelque choses commencent à changer un peu. Et j’éspère que cette situation continue. J’ai remarqué , par exemple, plus de familles et de personnes noires dans les pubs à la télévision. ça c’est une amélioration mais c’est juste un début.

  • In my American city (Seattle) rent is becoming unaffordable, lots of wealthy companies (like Amazon) paying workers high wages that have driven up prices for the community resulting in those working lower pay jobs and artists being displaced and not able to afford living there, homelessness issues, housing problems, police brutality, etc.

  • Je pense qu’on a les mêmes problèmes avec l’inégalité et des opportunités, mais dans certaines villes ce sont les pauvres qui vivent dans le centre-ville et les riches qui vivent dans le périphérie. Et dans une échelle plus grande, certaines régions de pays sont beaucoup plus riches que d’autres. Avec plus de inégalité, on a plus de tension et des problèmes.

  • J’habite à Saint-Pétersbourg. Le problème principale dans les villes de Russie c’est le service public. En hiver ils ne déblaient pas la neige dans les rues et aussi la glace des toits tombe sur la têtes des piétons. En été ils ferment l’eau chaude pendant 2 semains chaque année. Et il y a des problemes de les routes (ils n’en reparent pas) par-ci par-là.
    Mais en général la situasion dans la gande ville comme Saint-Pétersburg est O.K. Dans les villes plus petites c’est plus mal.

  • Pas tellement différent que les banlieues de nord, aux États Units, nous avons “inner cities.” Il y a des lieus détruits sans d’un bien qualité de vie, mais le problème est plus grave et plus sensitive à sense culturelle. L’histoire de inner cities suive l’histoire de l’esclavage. Appelée “the great migration,” beaucoup d’esclaves libres déménagée à autres villes Américaines, où ils sont abandonné par leur voisins, et par consequent, abandonné par leur gouvernement.

  • Je pense que beaucoup de problemes de autant de pays sont les inegalites entre le riche et le classe moyen et le pauvre. Le riche ne vivent pas la meme vie aussi nous. Ils peuvent acheter n’importe quoi et n’importe qui. Nous devons corriger les inegalites avant nous pouvons avoir le pouvoir vivre.

  • Je vis dans le nord de l’Italie, j’ai la chance de vivre à la campagne dans une petite ville. le problème est comme toutes les villes du monde, dans les banlieues voisines il y a beaucoup de pauvreté, de violence, peu de travail et les jeunes suivent le route des banlieues pauvres. mais j’espère que nos politiciens et nous pouvons faire plus et contribuer à faire une différence, en aidant dans le travail et la vie sociale avec égalité, sécurité et protection et pour finir l’éducation.

  • Nous vivons près de Londres à 30 minutes au nord. En général, nous n’avons pas les mêmes problèmes que la France, mais il y a des problèmes de drogue et de crime au couteau. C’est principalement chez les jeunes des banlieues. Je pense que le plus gros problème pour notre pays est que tous les immigrants étrangers forment leurs propres communautés et ne s’intègrent pas.

  • Je suis né en Ukraine, à Odessa. C’est une belle ville historique avec une riche culture, sur la côte de la mer Noire. Résidents – avec une langue et une saveur spécifiques intéressantes. Les étrangers et les Français (et mon mari) tombent tout de suite amoureux de cette ville.
    Mais:
    1. Le problème en Ukraine, ce sont les routes. C’est horrible.
    2. Transport. Des petits bus, beaucoup de monde et il n’y a aucune opportunité pour les personnes handicapées et les mères avec enfants.
    3. Maisons historiques. Belles maisons mais mal entretenues.
    Mais il existe de nombreux immeubles de grande hauteur.
    4. Les riches occupent également des territoires à proximité des plages.

  • Pour maintenant, je pense que le problème le plus profond aux Etats-Unis est le gouffre de notre système politique. La rhétorique incendiaire a divisé les familles, les membres de la même église et les amis. Elle a envahi les domaines de la science et de la médecine et en a fait des champs de bataille idéologiques. Pourrons-nous sortir de cette situation d’une telle folie à l’avenir?

  • En Espagne il y a un grand problème avec le prix de logement. Maintenant il y a beaucoup de familles qui ne peuvent payer un loyer même pas. Donc, il est en train d’ apparaître de plus en plus de cas de violations de domiciles, c’est-à-dire, le mouvement squat (Okupa). Il y a des divergences parmi même la société espagnole à propos de problème. D’un côté, ils pensent qu’il y a de nombreuses habitations vides qui apparaissent à l’ État et aux grandes entreprises. D’ autre part, ils pensent qu’est une grande injustice la violation de domiciles de particuliers, enfin, parce que la Justice ici, est très lente, et il faut attendre beaucoup de temps pour un procès de résolution. A mon avis, c’est une honte que l’État ne fasse rien pour résoudre le problème.

  • J’habite dans le Colorado et il n’a pas nécessairement les mêmes problèmes que d’autres régions des États-Unis.
    Ici, il y a le même problème qu’en France avec le système éducatif. Si vous vivez dans une région pauvre, les écoles ont moins d’argent et donc les enfants reçoivent une éducation moins bonne. Il est très coûteux d’aller à l’université, donc encore une fois les enfants les plus pauvres ne peuvent pas y aller.
    Dans les grandes villes, il y a aussi un problème avec de nombreux sans-abri, qui a augmenté depuis que notre État a légalisé le cannabis. Cela a créé un problème de drogue et de criminalité et de nombreuses personnes évitent maintenant le centre-ville.

  • Même dans la petite ville de 10,000 habitants près de moi aux Etas Unis, le schéma décrit par Hugo se répete. Le pauvre vivent dans des logements subventiennés près du centre-ville, et la classe moyenne vit loin du centre-ville dans de jolies maisons individuelles. Il n’y a pas d’interaction entre les deux groups. Il y a pas de sens d’un communitè inclusive.

  • • Je pense que les problèmes sont génériques, se retrouvent partout: c’est le dénigrement social; et où s’il n’y a pas de but, il faut en créer un. Et puisque les peuples dépendent de l’État, ce sera en premier lieu un cri de frustration et de colère contre l’État et le statu quo qui ne les aide pas.
    • Cependant, il est difficile de vivre dans des conditions sordides, avec des infrastructures médiocres, sans installations sportives et éducatives, etc.
    • Mais dans une manière vraie ces populations qui vivent dans pauvreté dans les banlieues, ils réussissent contre toute attente. Je suis sûr qu’il y a un sens de la communauté et cela est la chose plus importante, parce que cela est comment une communauté peut s’aide (si ses énergies sont canalisées dans une direction « positive »
    • Cependant, je soupçonne que ces communautés n’ont peut-être pas les mêmes objectifs que les gens qui maintiennent le statu quo, que la société valorise et qui ont donc des emplois bien rémunérés. C’est ironique car là où leurs objectifs sont les mêmes, dans les banlieues pauvres, il y aura plus de criminalité pour créer de l’argent pour avoir une vie plus confortable

  • À mon avis, le principal problème dans les villes du Brésil est le faible investissement dans l’éducation publique. Quand je parle de ça, je pense dans les plusieurs conséquences de cette omission du politiciens. D’abord, la majorité des jeunes des classes populaires ne réussissent pas arriver à l’enseignement supérieur, plutôt à cause de la mauvaise qualité des cours.
    En raison de l’accès inégalitaire à l’instruction, on ne donne pas une chance à tous de sortir de la pauvreté et on produit les plus graves problèmes en termes de coûts de chômage, de prestations sociales et surtout l’augmentation de la violence.
    C’est vrai que l’adoption des quotas ethniques raciaux et des quotas pour les jeunes issus de l’enseignement public secondaire ont permis quelque accès à la université mais il est loin d’un vrai solution pour résoudre les problèmes.

  • Nous avons les mêmes problèmes en Suède comme en France dans les banlieues où habitent beaucoup de personnes d’origines différentes.
    Parfois il y’a des émeutes avec la police et il y a des personnes qui jetent des pierres contre les policiers, les ambulances et les pompiers. Quelquefois on brûle des voitures.
    Là-bas Il y a aussi beaucoup de criminalité avec des drogues. Les clans criminels ont construit des sociétés propres avec des règles criminelles à l’intérieur de la société suédoise.
    C’est très difficile pour les jeunes sans diplômes de trouver un boulot et aussi un logement, comme en France. Donc c’est facile de se joindre au gang.
    Mais il faut savoir qu’il y a aussi beaucoup de personnes très bon dans ces banlieues.

  • Au Vietnam, il n’y avait pas d’une révolution industrielle donc il n’avait pas du tout besoin des ouvriers étrangers comme des pays développés. A l’autre côté , il n’y a plus de l’assistance sociale comme la France, quand on a des problèmes, on se débrouille ou demande des aides de ses proches, sans les attendre à l’Etat. De plus, la manifestation est interdite, c’est pour cela, il n’y a jamais des émeutes depuis après 4/1975. Mais, le Vietnam, c’est le pays peuplé, notamment, les habitants se concentrent aux deux grandes villes (Hanoi et Saigon) pour travailler et étudier. Donc, il y a beaucoup de problèmes comme la vole, cambriolage, arnaque, drogue, sans abri,.. La plupart d’habitant utilise de moto, tout cela mène la circulation dense sur la rue et la pollution est alarmante.

  • Au Canada, c’est de plus en plus évident que les villes, particulièrement les centres-villes et les arrondissements autour des centre-villes dans nos plus grandes villes (Toronto, Montréal et Vancouver, mais on constate des similarities dans les autres villes) sont inhabités par ceux qui gagnent des salaries plus hautes que ceux qui vivent dans nos banlieues. Pendant les décennies jusqu’à 1990 et la récession globale, les changements sont rapidement apparus: la classe moyenne a diminué dans les banlieues (les jobs industriels sont disparu), les plus jeunes, avec un éducation post-secondaire, a commencé de plus en plus choisir le centre-ville, d’acheter condo ou de louer appartement, et l’affluence des arrondissements plus riches continuait à augmenter jusqu’à aujourd’hui. Aussi, en même temps, on trouve que les ouvriers qui travaille dans les jobs de service, moins bien compensé et vivant dans les logements au banlieue qui manque des services publiques, et les investissement dans l’infrastructure (comme le transport en commun.). Aussi, ces résidents sont pour la plupart les immigrés au Canada. Donc, un changement profond, mais aussi une division qui est agrandi de plus en plus entre les riches (au centre de la ville) et ceux qui sont plus pauvres dans quelques arondisements dans les banlieues.

  • Dans mon avis, on a exactement les mêmes problèmes au Royaume Uni que dans la France.
    Bien sûr, il sera des détails et des spécificités différents mais en général c’est aussi catastrophique ici:
    Les immeubles sont dégradées et il n’y a pas d’argent pour les maintenir ou rénover, et il y a moins d’infrastructures.
    C’est tout a fait pareil pour l’education – exactement comme tu a rencontré – très difficile pour les élèves de réussir et également difficile de trouver de travail – et si on le trouve c’est souvent mal payé. C’est pas une surprise que certains décide de rejeter le système.
    La seule chose différent, selon moi, c’est géographique: “les banlieues” ou “les cités” sont en périphérie des villes Françaises (je comprends que les banlieues bourgeoise sont différents) .
    En le RU c’est plus aléatoire. On trouve les “estates” dans la plupart d’arrondissements dans les grandes villes. J’imagine que ce fait des résultats différents mais de la même origine.
    L’incendie horrible du Tour Grenfell est une exemple: l’arrondissement de Kensington est une partie très riche et “snob” et une partie très pauvre.

    (C’est intéressant que le mot “estate” est la même mot en anglaise pour la propriété d’un manoir! Comme “la cité” pour les grands ensembles.)

  • En Israél la côte de la vie est trés chére.
    Par example un bon pain ça coùte 20-30 ILS (6-8 Euro) et les salaires sont bas. Ça veux dire que il y a beaucoup de gens que ne pas terminer un mois balanceé
    les loyer est chére et c’est presque impossible achéter de la maison.

  • En Angleterre nous aussi avons les grandes batiments dans les peripheries de nos grandes villes comme dans les banlieues. Il y a les problemes similaires, comme l’infrastructure est pauvre, donc les opportunites pour les residents des batiments ne sont pas bonnes.

  • Le problème au Royaume-Uni c’est l’inégalité au niveau d’éducation. Par exemple, cet été on a l’algorithme biaisé des résultats d’examen qui était plus favorable aux écoles privées. Les choses comme ça ne permet pas de jeunes talents des milieu plus modeste d’atteindre le même niveau que les personnes plus privilégiées.

  • La ville américaine de Minneapolis était enflammée quand un homme africain-américaine est tué par une police. Effectivement, beaucoup de partes du monde ont manifesté en paix quand George Floyd est mort le 25 mai, 2020. Les américains sont sortis pour protester la violence de la police malgré la pandémie de covid 19 parce que la situation était catastrophique et trop commune.

  • En Irlande le plus grand problème dans les villes, c’est le chômage. Nous avons énormément du mal à créer de bons postes de travail pour les jeunes. Les jeunes irlandais qui ont fait de bonnes études émigrent partout dans le monde anglo-saxon et en même temps un flux de gens d’Europe de l’Est, d’Afrique noire et de Moyen-Orient affluent sans frein. L’État est faible, impuissant et incompétent. C’est la catastrophe assurée. À l’avenir le pays entier risque de devenir un immense ghetto avec des conditionnes comme celles qui règnent sur les misérables banlieues françaises.

  • Je saisis cette occasion pour réfléchir à la situation d’urbanisation mondiale. Aujourd’hui, de plus en plus d’êtres humains (déjà plus de 51% de la population mondiale), vivent dans des zones métropolitaines – des villes gigantesque comme New-Delhi ou Mexico. En tant que telle, la grande ville est un système très complexe, presque comme un organisme vivant. Il est important de se rendre compte que pour faire fonctionner un système aussi complexe nécessite une planification à long terme et la prise en compte de nombreux facteurs qui sont à peine prévisibles, et dont l’influence ne sera peut-être jamais possible de connaître entièrement.

    Les situations catastrophiques dans les banlieues comme celle décrite par Hugo ne sont pas locales. Son histoire particulière ne fait que cache le problème réel qui est tellement plus profond : les systèmes urbains deviennent de plus en plus complexes socialement et économiquement. En conséquence, ils sont de moins en moins gérables. Cela cause déjà beaucoup de souffrances humaines.

  • Il y a un universalité certain avec les petites villes et l’inégalité parmi les habitants. Précisément les blancs et les non blancs. L’opportunité donnant à celles qui sont nés blanches c’est bien puissant que celle de peaux différentes. Malgré ça soutient cette inégalité et qui soit en train de changer (doigts croissés) avec tous ces mouvements sociaux avec les gens qui sont ras du bol avec traitement secondaire. Bref il y a cet inégalité qui existe partout et comme vous avez dit personne (governments) veut prendre la premier pas en bon direction.

  • Je vis dans une ville verte entre Oxford et Cambridge au Royaume-Uni. Ici il y a une fracture sociale mais en général les gens vivent ensemble en harmonie. Le plus grand problème est le prix du logement ici à seulement 40 miles de Londres .80 kilometres.

  • Au Portugal, en particulier à Lisbonne, je pense que le principal problème est le prix des logements, qui a beaucoup augmenté en raison de l’augmentation du tourisme et de l’accroissement des investissements immobiliers. Aujourd’hui il y a de plus en plus des hébergements locals et d’appartments de luxe, qui ne sont pas du tout accessibles à la plupart des gens compte tenu du salaire moyen au Portugal.

    D’après mon experiénce personelle, même avec un travaille qui c’est bien payant (compte tenu le salaire moyen) c’est difficile de trouver des appartements à acheter ou louer à des prix abordables à Lisbonne.

  • J’habite aux États Unis et votre commentaire soulève des questions important.
    1. Combien des personnes en Canada, en France, et aux États Unis habitent sans-abri ?
    2. Combien de personnes supplémentaires sont devenues sans-abri dans ces pays pendant la pandémie de covid-19 ?
    3. Si vous étiez sans abri, lequel de ces pays vous aiderait le mieux ?

  • Oui, je suis d’accord avec la liste de ces graves problèmes. Je ne peut pas voir un changement bientôt sans la volonté des tout les membres du gouvernement à tous les niveaux où tout les politiciens agissent pour le benefice des gens la plus dans le besoin, plutôt que pour leurs riches supporters. Il faut abolir ce système foutu de lobbying, d’intérêts spéciaux et d’un collège électoral pour voter aux élections. augmenter les impôts des riches, offrir des incitations aux personnes riches et aux entreprises pour financer ces causes, avoir une surveillance extérieure stricte pour les mettre en œuvre, mettre en place des soins de santé pour tous, offre une meilleure éducation et plus de formation des métiers [gratuit pour les pauvres, avec une échelle mobile pour ceux qui ont plus de revenus, plein tarif pour les riches], etc. Autrement dit, les rêves d’utopie, impossible sans un énorme changement dans la façon de penser, de la cupidité à l’altruisme parmi TOUTES les personnes qui pourraient réellement financer et influer sur le changement.

  • Je suis Néo Zélandais et les problèmes dans les villes de Nouvelle Zélande sont les mêmes comme ceux textes qui apparaissent au-dessus.
    A mon avis;
    Depuis les années quatre-vingt le monde est devenu plus en plus mondialisé. Par conséquent les gens, qui avaient une bonne situation avant la mondialisation sont devenus plus encore riches. Ceux qui possèdent un terrain,des bâtiments, des appartements etc. ont vu leur valeur augmenter massivement. Aussi l’écoulement de la finance et le capital autour du monde a été libéré sans contrôle. Le résultat a été une grosse augmentation dans le valeur de propriété.
    Cependant en revanche les pauvres ont vu leurs salaires relatifs tombées baisser. Donc la différence entre ces deux classes, les riches et les pauvres, a en fait ajoute à les inégalités sociales. Les problèmes en toutes villes autour du monde sont tous problèmes d’inégalité par exemple d’haut loyer, d’haut prix de logement etc. Ce sont des problèmes présents partout au niveau mondial. La solution est de résoudre ce problème d’inégalité et une solution internationale doit être trouvée à l’échelle internationale.

  • Aux Etats-Unis, il y a un grand écart entre les riches et les pauvres. Cette disparité est la cause et l’effet de beaucoup d’inégalités, tels que l’accès à bon nourriture, le logement abordable, les soins médicaux, et l’éducation. Ces problèmes créent un cercle vicieux qui est très difficile d’en s’échapper. Les problèmes des drogues et des crimes aggravent ces situations désespérées.

  • Je suis brésilienne. Je habite au Rio Grande, sud de Brésil.
    Je pensé que le principal problème dans les villes de mon pays, c’est le pauvreté et inégalité sociale.
    Le racisme est trés fort en Brésil et le violence policière.

  • Je crois que dans le monde entier il existe le même problème. En Bulgarie on a beaucoup de tsiganes. Ils sont défavorisés, leur niveau de vie est très bas, très basic, quasiment marginal (dans la plupart de cas).
    C’est triste, mais c’est comme ça…Il me semble que cette situation ne pourrait jamais être résolue. Encore, je reste optimisme 🙂

  • Je suis Colombien et j’habite à Bogotá (la capitale du pays). La Colombie est un pays avec de grandes inégalités. À Bogotá, par exemple, l’inégalité entre les personnes qui vivent dans différentes zones est énorme. Les gens qui vivent dans le nord de la ville ont une meilleure qualité de vie que ceux qui vivent dans le sud. De plus, l’inégalité entre les différentes régions du pays est également énorme. Tout comme la France, la Colombie est un pays très centralisé, et la majorité des personnes ayant de l’argent vivent dans les grandes villes (Bogotá, Medellín, Carthagène).

  • En Canada, le prix du logement is très élevé dans les grands villes, donc c’est difficile de trouver une maison ou un appartement meme si on a un bon travail. Je pense que c’est à cause du une manque de logements disponibles. Beaucoup de gens a aussi un log trajet pour aller au travail, et ce n’est pas bien pour la vie, ou la santé non plus. Moi, j’ai déménagé récemment de Toronto à Waterloo pour trouver une maison et pour échapper à mon long trajet. C’est genial maintenant !

  • J’habite aux Etats Unis dans une ville dans le Moyen Est. C’est une ville avec beaucoup de problèmes, entre les pires est l’inégalité. Ce problème est la source pour plusieurs autres. On peut voir les problèmes qui viennent du traitement de gens dans une manière inégale. Dans notre ville, je veux dire que le problème plus important qui peut commencer a changer notre ville le plus est l’éducation. Le système d’éducation dans notre ville est terrible, les étudiants reçoivent une formation qui manque beaucoup. Nos étudiants ne peuvent pas gagner un bon travail après leurs diplômes et cette situation mène les diplômées a une vie de pauvreté et une continuation du cycle.

  • A mon avis, les principaux problèmes dans les grandes villes en Espagne sont la contamination, le temps qu’il faut mettre pour aller travailler, et la différence de niveau économique entre certain quartiers et d’autres. Il y aussi certains quartiers ou le trafic de drogues est concentré…

  • Je viens de Londres. C’est l’un des meilleurs villes dans le monde, très belles! Mais pour moi, le plus grande problème est le crime. On trouve ça partout, évidemment – J’ai vu des crimes peut-être dans les secteurs plus riches au mondiale.

  • Je vis en Caroline du Nord. Ma ville, Asheville n’est pas grande mais il y a plus en plus de touristes chaque annee et beaucoup d’entre eux decident demenager ici apres avoir visiter. Bref, ils achètent l’immobiliers pour des maisons de vacances ou pour utiliser comme un “Air BNB”
    Du coup, les jeunes locaux n’ont plus les moyens d’acheter une maison parce que les prix ont tellement augmente. C’est domage.

    • Je vis en Falmouth, MA – Cape Cod. Comme Asheville, beaucoup de gens de Boston déménage ici ou plus pire, achète une deuxième maison, généralement assez grande. Malheureusement, le coût à l’acheter une maison est élève et les gens qui travaille ici ne peut acheter une maison

  • Je m’habite Falmouth à Cape Cod. J’ai retraité et beaucoup de gens sont aussi retraité comme moi. Il y a beaucoup des problèmes ici. Avec la crise climatique, tout le monde conduit dans SUVs et camionnettes (pick-up trucks). Le trafic est incessant. Il y a seulement un piste cyclable (bike path) et les rues et trop étroite et dangereux.

  • Maintenant, je vis en Suisse, mais dans ma ville en Pologne (Gdynia) ce que je n’aime pas, c’est la politique de construction. L’éclectisme architectural de certains quartiers de Gdynia vous donne mal à la tête. Je pense qu’un permis de construire est accordé à ceux qui paient généreusement. Cela ne va pas de pair avec la vision architecturale de la ville.

  • J’habite dans une petite ville du nord de l’Italie où la qualité de vie est assez élevé. Mais la situation change beaucoup dans les grandes villes où il y a le problème de la pollution de l’air, du trafic, des loyers élevés, de la gestion des déchets, et cetera. Mais je crois que ce sont des problèmes communs aux grandes villes du monde entier. De plus, au cours des vingt dernières années c’est ajouté le problème de l’immigration de l’étranger (souvent clandestine) qui a mis en crise de nombreuses villes italiennes parce que le pays n’est pas préparé à ce nouveau défi.

  • Ici, en Argentine la réalité est trop compliquée.
    Les immigrantes et les gens très pauvres n’ont pas la possibilité d’accéder à la maison, même pas ils, eux peuvent louer. Donc, la population la moins ressource, vit sur terre qu’elle occupe.
    En plus, il y a beaucoup de chômage .
    Tout est très triste

  • Je viens d’une petite ville à l’est de l’Allemagne et le problème dans les villes là c’est que beaucoup de jeunes ne trouvent pas de travail et sont migré à l’ouest ou sud. Donc les petites villes ne sont pas très foisonnantes et beaucoup de gens sont frustrés et insatisfaits avec leur vie. Ça a contribué à la croissance du Neonazisme dans cettes villes de l’est, et à la naissance du parti AFD que à mon avis c’est un développement très dangereux.

  • Dans mon pays d’origine. Les ville loin de les ville principale de chaque région le qualité de vie est beaucoup moins de l’autres villes. Par exemple, dans mon ville quand on veut aller à l’université on peut déménager au moins que 250 km.

  • Ici à Singapour, comme il est un pays trop petit, 721.5 kilomètre carrés, il n’y a pas un séparation evident entre le ville et le banlieue. Le taux de crime est aussi relativement bas. Presque tout les citoyen ont leur propre logement, apartment ou maison. Approximativement 78.8% séjour dans les logements sociaux qui se sont developper par le gouvernement. Comme Mei Lu a dit, tout les monde travaille dur, meme quelques uns des plus âgé. c’est le sujet de débat maintenant.

  • Bonjour à tous !
    J’habite à Tokyo. La popuilation de Tokyo est 13 millions qui est 10 % de la population d’Etat. La densite de population de Tokyo est 15.4 mille/ 1 ㎢,c’est surpeuplement. Il n y a pas de banlieue ni d’immigration , mais il y a des probléms de la disucrimination, de l’inégalité, de la pauvreté. Cepandant, ces situation sont cachée. Alors, les gens qui les comprendent est moins. En plus des habitants ne manifestent pas et ils ne demandentpas d’ameliorer pour le gouvernent maintenant . Nous sons dans le pays démoclatique. C’est dommage.
    Je respecte les mouvement sociaux dans Les États-Unis et L’Europe.

  • Je dirais que le principal problème à son époque dans le sud-ouest de l’Espagne est le chômage, surtout en ce qui concerne les jeunes (près de 50 %). De plus, l’augmentation du coût du logement dans les centres villes est un problème car cela signifie que les habitants ne peuvent pas se permettre d’acheter ou de louer un logement.

  • Aux États-Unis, il y a aussi beaucoup d’inégalité. Par exemple, dans les grande-villes comme Chicago, NYC, et San Francisco, il n’y a pas de bon système d’éducation publique. Ce n’est pas un problème pour les riches qui envoient leurs enfants à les écoles privées, mais c’est un grand problem pour les autres. Sans une bonne éducation, il est difficile pour les enfants des quartiers pauvres d’échapper à la pauvreté, et donc rien ne change…

  • Aux États Unis, il y a les mêmes problèmes que les autres americains ont écrit: les loyers trop chers, la pauvreté, la violence de la police, etc. Je dois rajouter le trafic ! C’est ridicule ! Il y a trop de voitures et pas assez de bus ou métros

  • J’habite à Glasgow et il y a une grosse problème de inégalité dans cette ville. Les quartiers vers l’Ouest et le Sud sont plus riches alors qu’il y a beaucoup de pauvreté dans l’Est. Le gouvernement est en train de faire des efforts pour rénover les quartiers plus défavorisé et les problèmes améliorent au fur et à mesure, mais il reste beaucoup de choses à faire.

  • Au Royaume-Uni, il y a un manque croissant de logements sociaux de bonne qualité, et abordable, pour ceux qui, pour une raison ou une autre, ne peuvent ou ne veulent pas acheter une maison ou un appartement. À mon avis, l’idée que la maison de chaque Anglais est son château ne fonctionne pas pour tout les gens. Et le problème a commencé à se manifester dans les rues et dans les tensions sociales. L’éclatement de la bulle immobilière ne fera qu’aggraver la situation. Je crains que l’un des prix à payer soit un manque de mobilité alors que cela sera essentiel pour trouver une issue à la crise que Covid provoquera.

  • Je pense que le deux principales problèmes dans les villes an Hongrie sont le sans-arbrisme et le manque de l’écoconception. Il y a beaucoup des person sans domicile fixe dans les villes. L’autre problem: Il y a des espaces verts dans le villes mais le vrai problem c’est le manque des pistes cyclables, des trottoirs et d’énergie renouvelable.

  • Je crois qu’à Tel-Aviv, nous avons le même problème qu’à Paris. De nombreux immigrants de différents pays vivent dans de petites appartements et essaient de trouver un emploi. Parfois, le pays les expulse ou expulse leurs enfants. Mais le plus gros problème d’Israël est l’occupation de la Palestine et ses relations avec eux.

  • J’habite aux états-unis et je ne pense pas qu’on peut simplifier la situation dans un seul principal problème. Par contre, le racisme systèmatique dans notre societé est à l’origine de beacoup de ces problèmes. Plupart des gens qui vivent ces problèmes, comme la pauvreté, et cetera, dans les villes sont noirs et autres races, pas caucasien. Beaucoup de personnes de couleur n’ont pas les mêmes ressources, et les inégalités continuent de devenir pire en pire.

  • Moi, j’habite à Toronto et c’est claire que les divisions entres les classes continuent à grandir rapidement.
    Toronto est une ville qui était créé par les immigrants et les ouvriers et plus en plus la bourgeoisie attaquent les droits de la classe ouvrier.
    Par example, la coûte de logement a beaucoup augmenté même les salaires ne suivent pas.etc.

  • Je suis né ici à Rio de Janeiro, l’une des plus belles villes du Brésil et aussi la deuxième plus grande.
    Ici les quartiers bourgeoises se mélangent déjà aux banlieues pauvres , mais cela ne suffit pas pour résoudre les problèmes des inégalités sociales.
    Je pense que ces problèmes sociaux ont plusieurs origines et il est très difficile de relever le plus important,
    mais je peux dire que l’héritage de l’esclavage est un fardeau à résoudre par l’État, mais ce sont leurs héritiers qui portent ce fardeau sur leurs épaules.
    Il suffit de regarder une famille, qui est née dans un pays prospère et penser comme aujourd’hui c’est difficile pour nous se mettre dans un post de travail d’une manière digne.
    Alors imaginez cette famille qui a hérité la base de la pyramide sociale, de l’esclavage, comme ils vont reussi à s’intégrer et s’élever socialement.
    Peut-être c’est le problème plus difficile à résoudre.

  • Maintenant, je pense que la principal problème est la séparation dans la politique et la conversation civile. C’est une cause de beaucoup de problèmes comme la réponse à la crise de COVID. Le gens préfèrent se battre entres eux plutôt que la virus. Beaucoup de gens ignorant volontiers let fait pour soutenir leur camp. C’est une grave problème.

  • J’habite Columbus Ohio. Nos plus grandes problèmes sont la racisme systématique et la pauvreté et la violence dans le centre ville. Mais les manifestations antiracistes et le sens de justice des jeunes gens me donnent beaucoup d’espoir pour l’avenir.

    • Je crois que le sujet d’aujourd’hui est similaire partout. Les inégalités, le chômage, les personnes sans abri, le violence, et la racisme. Ce sont des problèmes fondamentaux dans nos sociétés et à mon avis, il faut que nous agissons tous ensemble, il faut que nous changeons radicalement pour résoudre ces problèmes.

  • Les États-Unis ont pas mal de problèmes. Il y a un manque de financement pour l’éducation. Les soins de santé abordables sont un énorme problème. Bien sûr, actuellement, le racisme est au centre de notre dialogue national. Je pense que nous vivons une période très difficile. J’essaie de me concentrer sur les bonnes choses.

  • Je ne connais pas beaucoup l’etat des villes américaines, mais un problème qui touche presque toutes les villes depuis plusiers décennies est la “fuite des blancs,” où les blancs fuient le centre ville pour échapper à las criminalité. Dans de nombreuses villes, la plupart des personnes qui ont de l’argent vivent dans les banlieues, et non dans les villes proprement dites. Les centres de beaucoup de nos villes sont souvent comme les banlieues de Paris montrées dans la vidéo, alors que les banlieues sont des lieux de richesse et de luxe relatifs. Mais les résultat est souvant le même qu’en France: un inégalité flagrante en matière d’education, d’opportunités et de niveau de vie.

  • J’habite aux États-Unis près de Los Angeles. Il y a d’énormes problèmes d’inégalité sociale et économique et un racisme profond. Du plus, les services de police se sont militarisés avec les équipements et les philosophies hérités de nos guerres. Les problèmes sont très complexes et seront difficiles à résoudre et il y a de terribles divisions parmi de la population. Je sens qu’on est arrivé à un tournant.

  • Autour des grandes villes en Suède on trouve des banlieus populaires où prèsque tous les habitants ont une origine étrangère. Même si nos problèmes avec les banlieus ne sont pas aussi grandes qu’en France, aussi en Suède les gens sont divisés dans des banlieus riche et des banlieus pauvre. La criminalité et plus haute dans les banlieu populaires même si il y a des initiatives pour essayer de résoudre la problème.

  • Je n’ai pas vécu en Espagne depuis longtemps, c’est donc plus difficile pour moi de parler de la situation là-bas.

    Au Royaume-Uni, où je vis, la périphérie est souvent plus riche que les centres-villes, mais il y a aussi une grande ségrégation sociale.
    Les maisons construites après la guerre pour les ouvriers sont ce qu’on appelle «council states», et ce sont des bâtiments brutalistes, similaires à ceux que montrés dans la vidéo. Comme en France, le niveau de vie dans ces zones s’est fortement dégradé et il y a beaucoup moins de travail et plus de criminalité. Le «grime» dénonce cette réalité dont il est née, et, comme en France, il est un de les seules formes de l’échapper. À la suite d’un incendie tragique dans l’un de ces bâtiments, dans lequel il y a eu de nombreuses victimes, importantes violations des mesures de sécurité en ce type d’immeuble ont été mises au jour, mais la situation ne s’est beaucoup améliorée.

    En autre, il y a de plusieurs communautés d’immigrants qui ont des problèmes d’intégration et, peut-être à l’exception de Londres, chaque nationalité vit séparément.

    D’ailleurs, ces dernières années, le sans-abrisme est devenu un problème sérieux.

  • Dans les villes en Autriche sont les logements trop chers. Il faut qu’on ait beaucoup de chance pour obtenir un logement qui est bon marché. Ce problème est surtout à Vienne présent. Mais je pense qu’en général, la vie est plus chère dans les grandes villes. En plus, heureusement, je n’aperçois pas que la criminalité est un grand problème ici.

  • A Londres il existe des crimes au couteau, il y a des problemes partout avec les jeunes qui se battent dans les rues avec les consequences mortelles. Le gouvernement ne fait rien pour arreter les jeunes qui continuent de moquer de la police qui ont des pouvoirs tres limites de les arreter. Il y a une politique de la gauche a Londres qui protege les droits des criminelles violentes plutot que de proteger les driots des victimes de violence et des crimes au couteau. Il faut les peines de prison obligatoires et sévères pour les personnes reconnues coupables d’avoir porter des couteaux dans les endroits publiques.

  • Je pense que le principal problème est le cambriolage par les jeunes à Cairns, Australie où j’habite.
    Les jeunes voleurs sont à peine punis de ses crimes. Ils s’en sortent avec seulement une tape sur les doigts. Pas étonnant qu’il y ait beaucoup de cambriolages dans cette ville.

  • Aux Etats-Unis, les problèmes sont comme partout. Sans-abri, l’inegalité économique … et toute est pire parce que nous avons un président qui est raciste , depravé et stupide et divise les gens …
    Et maintenant le virus fait tout beaucoup pire, avec les gens sans travail … tôt on sera comme les banileues partout au moins à NYC. Je ne pense pas c’est possible recuperer.

  • Comme dit Spencer-” Tout le monde ne se soucie que d’eux-mêmes”- Les pauvres, dans mon pays-‘Argentine-🇦🇷 ils ne sont qu’un nombre nécessaire quand on vote….. Et je crois aussi que les gouvernements ne peuvent pas ou ne veulent pas le résoudre. C’est très difficile et très triste..-.-🐱

  • À Nashville aux États Unis, nous avons aussi les « banlieues » avec des logements mal entretenus , mais elles sont dans la ville. Je trouve que Nashville a beaucoup grandit récemment et le prix de la terre des « banlieues » en ville ont augmenté. Les entreprises veulent acheter ces espaces pour construire des nouveaux bâtiments et bureaus de travail. Maintenant les gens qui y vivaient doivent trouver des autres logements à l’extérieur de la ville.

  • Je crois que le racisme / le préjugé est un des problèmes principaux aux États-Unis. A cause d’une histoire longue et complexe du «racisme» (qui est lui-même une idée assez compliqué)–et des systèmes qui ont été établi pour opprimer certains groupes, on peut voir des disparités énormes dans la richesse, la sécurité des différents quartiers.

    Pour ajouter un peu plus–et je sais que c’est un peu moins concret–je crois que l’avidité est un problème plus profond et sinistre qui crée ce genre de problème (la pauvreté, l’oppression). Malheureusement, cela ne va pas disparaître dans un avenir proche :).

  • Même avant COVID-19, un problème majeur dans ma ville, Portland, Oregon, USA, était le sans-abrisme. Là encore, il s’agit d’un problème de logements trop chers – maisons ou appartements. Tous les niveaux de la société sont touchés par ce problème – les familles avec enfants, les personnes âgées, les vétérans, les personnes souffrant de toxicomanie, les personnes atteintes de maladie mentale. Maintenant, c’est bien pire à cause de la mauvaise économie. Mais il y a de bonnes nouvelles ! Les électeurs de la région de Portland viennent d’approuver un projet sur dix ans (financé par de modestes impôts) visant à améliorer la vie des sans-abris.

  • Le population de japon rapidement commence à vieillir. Les habitants de petites villes loin des grands villes comme Tokyo, Osaka et Nagoya sont isolés. Il n’y a pas beaucoup de jeunes qui veulent y rester parce que il n’en y a pas beaucoup de travailles.
    Dans le grande ville comme Tokyo, de plus en plus personnes, des jeunes des petites villes, des ouvriers étranges et des personnes âges sans assez de pension, disposent d’un budget serré et vivent dans des cartiers pauvres. Le plus souvent, ils sommes employé temporels et ils n’ont pas des assurances maladie ou assurance sociales. Il n’a pas encore des émeutes au Japon, mais je pense que des mesures pour le décentralisation et revitalisation de petits villes soient indispensable,

  • Où j’habite en Irlande c’est tranquille et la grande ville le plus proche est une heure d’ici. Je sais autour des grandes villes il y a des problemes comme ceux en France car les gens habitent dans les batiments mal entretenus et il y a souvent des problemes de drogues et la crime est plus élevée. C’est une sorte de cercle vicieux, car sans l’education il n’y a des possibilités de changement. J’ai réflichi de ça l’autre jour car je regardais une episode de MARSEILLE et un moment on voit le port qui est trés beau et puis dans le prochain scène on voit le cité avec des jeune gens louches, le graffiti et les voitures brûlés etc. Je crois que c’est pareil partout dans tous les pays ou au moins presque tous. Je me disais, j’aimerais habiter en France mais pas là-bas dans ces banlieux comme ça, c’est sûr!

  • En Nouvelle-Zélande le plus grande ville est Auckland. Dans la dernière décennie le prix de propriété a
    dégénéré rapidement. Donc beaucoup des jeunes ne peuvent pas permettre d’acheter ou de louer une maison. Il y a eu une augmentation des sans-abri et avec les gens forcé de vivre dans des voitures. Le gouvernement a promis a construit 5000 nouvelles maisons pour cette gens. Mais c’est l’année des élections donc nous verrons!

  • J’habite en Angleterre, et je pense que des plus grands problèmes dans les villes ici sont les difficultés entre des immigrés de certains pays, particulièrement les pays ex-colonial, comme Inde, Nigeria, Zimbabwe etc. Il y a environs 30 à 40 ans (dans les années de 80 et 90) il y était beaucoup d’émeutes entre des gens d’asie et des Anglais blancs.
    Au fil des années ces problèmes ont diminués mais dans les années de 2000 jusqu’à aujourd’hui, il y a eu beaucoup d’immigrés Africains et aussi de pays d’Europe de l’Est comme Pologne etc. et il me semble qu’il y a beaucoup de tensions entre ces gens. J’ai une amie Africaine qui n’aime pas des gens d’Asie et une autre amie Africaine qui n’aime pas des gens d’Europe de l’Est.

  • Au Royaume-Uni, nous avons des problèmes similaires de la France avec la pauvreté et la criminalité dans quelques banlieues dans beacoup des villes. Aussi, je suis en accord avec l’avis de Jayne P, dessus, le coût de hebergement dans les villes en le sud est très cher, presque prohibitif, surtout pour de nombreux jeunes.
    Moi, j’ai de la chance et j’habite a la campagne. J’aime visiter les villes, mais je ne voudrais pas y habiter.

  • J’habite à Varsovie – à mon avis les problèmes principaux dans ma ville actuellement sont le smog et, dans une moindre mesure, le bruit.
    Heuresement, depuis les aneés 90 il n’y a pas de grand problème avec la criminalité où la pauvrète. Par contre, ma ville a developpé énormement et pour moi c’est la place où il fait bon vivre.

  • Je suis de Madrid et le principal problème est l’augmentation du prix de logement en raison du turisme excessif. Il y a de plus en plus appartements touristiques, c’est à dire des locations à courte durée, par conséquent, le prix de la location augmente, il n’y a que des gens qui passent et les quartiers disparaissent, je veux dire la vie des quartiers avec petit petits commerces de proximité, etc.

  • J’habite au nord d’Espagne à San Sebastian et ici une de meilleur probléme est le prix de logement et le excès de tourisme qui a fait que beaucoup de boutiques locales ont eté deplacées par de grandes entreprises qui sont les mêmes dans tout les villes du monde et beaucoup de bares et restos locaux avec de choses traditionnelles comme “les pinchos” ont eté vendus au grandes investiseurs qui font des offres pareils mail pas égales aux touristes.
    Pour les jeunes est difficile de vivre car bien qu’ils soient très bien préparés, ils ne trouvent pas d’emplois stables et les prix des logements sont bien au-dessus des possibilités qu’íls ont avec ses salaries.
    Je pense qu’il vaudrait mieux proteger l’economie locale et mieux réguler la mondialisation qui fait beaucoup de dommages environnementaux en détruisant la biodivesité culturelle en plus de bien d’autres choses comme la creation d’enormes inégalites que comme il semble se produit au monde entier

  • L’un des problèmes les plus préoccupants aux États-Unis est la crise de l’itinérance, surtout dans les endroits où il y a un beau temps, comme la Californie du Sud. Malheureusement, le coût des maisons est très cher et il n’y a pas assez de logements abordables pour trop de gens. Les constructeurs ne veulent pas faire ce type de bâtiments parce qu’il n’y a pas assez de profit. Généralement, ces types de logements sont des appartements qui pourraient rendre une ville plus encombrée. Par conséquent, les citoyens des villes ne veulent pas de ces bâtiments ainsi. Le gouvernement a essayé d’adopter les règles pour faire ces bâtiments, mais c’est souvent une lutte.

  • Dans le grand cités en Australie il n’y a pas des problèmes comme en France. L’Australie aussi a un grand nombre d’immigres mais ils ont plus distribué et il y a plus de mixage social. Sydney, par exemple, a beaucoup de ‘suburbs’ mais ils font partie de la région métropolitaine de Sydney.
    En plusieurs ‘suburbs’ il y a des concentrations de personnes d’une particulaire ethnicité, mais jusqu’à présent Sydney n’a pas des émeutes. La plupart de gens ont les resources pour acheter les nécessites de vie. L’Australie a des lois strictes contre la discrimination et elle est fière de sa philosophie de multiculturalisme.

  • J’habite en Royaume-uni, Il y a beaucoup de différences entre les villes du sud et du nord. Le premier problème est le coût des maisons dans le sud est très cher. De plus, il y a trop d’entreprises dans le sud, mais pas beaucoup du logement abordables pour les ouvriers. C’est un gros problème.

  • Nous avons le même problem aux Etats Unis, surtout dans les villes post-industrial. Nous avons construit beaucoup des grands immeubles a cote, ou dans notre villes, mais nous ne mettons pas l’effort de les maintenir. Come la France, nous avons deux villes dans chaque ville. Un pour les gens avec un bon travail et l’argent sufficient, et une autre pour les gens qui n’avons pas ça. Malheureusement, comme en France, c’est un division de race aussi de l’argent.

  • Le principal problème dans les villes du nord-est des Etats Unis est la crise de logement. Dans ma ville de Boston, le loyer ou prêt hypothécaire sont très élevés donc, la classe professionnelle déplace la classe ouvrière. La classe ouvrière se bouge aux banlieues qui ont les pires écoles, menant à un cycle de la pauvreté.

  • Il y a beaucoup de problèmes au Mexique, car un grand pourcentage de la population est dans la pauvreté et le gouvernement ne les aide pas beaucoup. donc l’écart entre les riches et les pauvres se creuse. Et maintenant, vous pouvez clairement voir cette séparation due à la crise de COVID19, car dans les régions pauvres, la vie continue normalement, par rapport aux régions riches où tout le monde reste chez eux.

  • J’habite au côté ouest des États-Unis où on se trouve les mêmes problèmes que tu as dits. Pour nous, je pense que les inégalités commencent par la race. Notre pays avait une histoire longue de racisme et ça continue aujourd’hui. Ils y ont les règles et lois qui séparer et diminuer les minorités aux États-Unis. Certaines lois qui avaient créé durant le 20e siècle continuent aujourd’hui et effectuer les chemins pour les minorités de recevoir une bonne éducation et aussi la chance de partir la pauvreté

  • Les problèmes principaux dans les villes de la Bulgarie, ce sont souvent la pollution de l’air, le bruit, les sans-abris. Il y a des banlieues jolies, comme celle où j’habite, mais il y a aussi peut-être une banlieue pauvre dans chaque grande ville, sans infrastructure et avec de problèmes de hygiène, de l’hébergement, de criminalité. Ces banlieues sont habitées par des gitans.

  • J’habite dans une petite ville en Allemagne. Là, il n’y a pas des problèmes comparables auxquels des banlieues parisiennes et l’inégalité des situations financières ne se fait pas reconnaître directement. Dans les plus grandes villes, il y a quand même des problèmes enormes. Ça commence par le prix élevé du logement, le traffic énorme et la pollution de l’air. Mais, malgré ça, la tendance que plus en plus de gens déménagent en ville progresse encore.

  • En Irlande a ce monent, c’est le CODID-19. il y a beaucoup de restrictions et les gens doivent rester a la maison. Vous ne peuvez pas voyager plus de 2 kilometers de votre domicile. Seuls les travailleurs essentiels peuvent aller travailler.
    Toutes les ecoles sont fermees depuis la mi-mars. Malheuresment, certaines personnes meurent de COVID-19.
    Pourtant, comme beaucoup de pays un gros probleme est le prix de lodgement qui est trop cher.

  • J’habite près de la ville Portland, Oregon, aux États-Unis. Maintenant, pendant l’epoch de COVID-19, la fosse entre les gens “avec” et les gens “sans” grandit chaque jour. Nous avions beaucoup de persons qui vivent sans abris et les autres sans ressources suffisantes pour la vie quotidien en avance que cette pandémie, et avec l’augmentation des chiffres de chômage le risque est plus grande. Le virus augmente et amplifie des trous et des inégalités qui étaient ici pour longtemps.

  • Mon petit village dans les montagnes de nord de New York a 600 habitants tout l’année et peut-être 2,000 en été, quand les riches viennent des grandes villes pour jouer à la campagne et rester dans leurs maisons énormes. Malgré notre petite taille, nous avons les mêmes problèmes que tous les autres endroits. Les maisons et appartements sont trop chères pour les “tout l’années,” il n’y a pas de travail bien payé, et il y a de pauvreté. Mais, nos services aux pauvres ont été suffisant jusqu’a ce moment de Covid 19.

  • Il y a different problemes dans different villes en Allemagne. Par example, beaucoup the villes dans l’est ont experiencé la migration de jeunes. En autre cote dans les villes qui sont economiquement tres fort la disponibilité du logement abordable est un probleme. Mais quand je dois choisi le problem principale qui touche tout le villes c’est peut-etre la pollution.

  • Aux Pays-Bas il y a plusieurs quartiers qui s’appelle ‘quartiers des problèmes’. Les problèmes dans ces quartiers sont comparable par rapport les mauvais banlieues du Paris. Les gents qui y vivent sont pauvres, socialement défavorisé, le taux chômage est plus haut que les autres parties des Pays-Bas, et leurs chances d’améliorer leur situation est plus petites. Neanmoins, le niveau du pauvreté, socialement et financièrement, n’est pas assez mauvais que les banlieues du Paris. Le gouvernement et la politique ont déja essayé d’améliorer ces quartiers et plusieurs des plans sont effectué avec un succès partagé. la langue a une rôle cruciale et on a les appelé ‘quartiers de pouvoir’, ‘quartiers de plendeur’ ou ‘des quatiers qui ont besoin d’attention’.

  • J’habite une petitte ville qui est très populaire à l’été avec les riches… mais les salaires ne sont pas pas assez pour notre coût de la vie, surtout pour les lodgements. Il n’y a pas assez de lodgements, et leur prix est très éléve. Après cette crise de corona virus, cella pourait changer, mais je ne sais pas.

  • Je crois qu’un grand problème dans les villes de Finlande, c’est les ivrognes. De plus, il se passe souvent que tous les ivrognes habitent dans les mêmes quartiers à cause des loyers plus bas. Mais dans les plus grandes villes, comme Helsinki, les étudients s’installent aussi dans ces quartiers. À mon avis, c’est un vrai ennui de vivre ensemble avec ce genre de gens.

  • À Portland, Oregon, ou j’habite, il y a beaucoup de problèmes similaires. Beaucoup de gens sont sans abri parce que le logement est très cher. C’est un problème pour tout le monde. Actuellement, des personnes qui travaillent au centre-ville doivent vivre dans les banlieues. En ce moment, avec Covid-19, c’est très dangereux pour ces travailleurs qui prennent des bus et des trains pour travailer dans les magasins essentiels. La pauvreté est mauvaise pour la santé.

  • À Lisbonne, les prix des logements à beaucoup augmenté par rapport aux salaires qui se y faisent pratiquer.
    Ça rend très difficile pour les gens locals d’accêder à l’habitacion , en particulier pour les jeunes, et ça les poussent de plus en plus loin. D’alleiurs, il n’y a pas des bonnes infrastructures de transport (metro, train, etc) pour porter ces gens-là.

    Maintenant, il y a encore un bon mix social à la ville. Ça veut dire qu’il y a des riches, des gens du classe moyenne et des ges plutôt pauvre, tout en y habittant. Ça donne charme à la ville, qui conserve des traditions genuines.
    Mais depuis quelques années, les villes se vident et s’occupent de plus en plus pour allogement local et hotels, des services touristiques et des appartments luxueux.

    J’ai peur qu’on se pourrais trouver dans une situation comme Paris, avec des grands et perigueux banlieus, ou comme Barcelona, avec tel haïr de touristes. Et j’ai peur aussi que la ville se devienne moins intérresants quand les gens locals ne seront plus lá.
    Il faut qu’on aye un equilibre très difficile à atteindre, avec des bonnes politiques sociaux et urbanistiques.
    On vera!

  • J’habite à Beyrouth, où il y a plusieurs de crises. Il y avait une crise de gouvernement parce que le gens n’avait pas de service basique ni de travail, c’est une système de sectarisme et corruption depuis la fin de guerre. En plus, il y a des grandes crises économiques et financières. L’état libanais à une de le plus gros dettes du monde. Et après tout ça le virus corona est venu. A cause de l’épidémie tout est fermé et la pauvreté et chômage sont augmenté encore plus. Beyrouth est une ville très inégalée. (Je pourrais écrire un roman de tout les choses que j’aime à Beyrouth aussi, mais c’était pas la question ici !)

    À Stockholm en Suède on a les mêmes problèmes que à Paris, c’est un échec d’intégration.

  • J’habite près de Toronto, au Canada. Le prix d’immobilier est beaucoup trop élevé. C’est de plus en plus difficile de trouver un appartement dans les grandes villes, parce que le loyer devient trop cher mais les salaires n’augment pas. Résultat, les banlieues deviennent de plus en plus grandes et nous avons un gros problème d’étalement urbain («Urban Sprawl») autour de nos villes.

  • Le problème en Chine est le prix du logement, il a augmenté trop vite. C’etais environ 400€ par mètre carré en moyenne en 2005 contre au moins 3,600€ par mètre carré. Beaucoup de monde ne peut pas le soutenir.
    Ce problème conduit à un autre problème plus grave. Si nous n’achetions pas d’appartement, nos enfants ne auront pas de droit pour s’inscrire à l’école.
    Donc, beaucoup de enfants sont obligés de séparer avec leurs parents (Des enfants grandissent avec des grand-parents, des parents travaillent dans les villes développées.)
    C’est vraiment triste et c’est un circle vicieux.

  • À mon avis, le principal problème dans ma ville et mon pays est le prix du lodgement. Mais, la situation pourrait changer avec le covid-19. Maintenant, le problème le plus grand est l’economie. C’est-à-dire, il ya a beaucoup de personnes qui a besoin d’un boulot en ce moment. J’espère que la situation est temporaire.

  • En Italie, il y a beaucoup de problèmes actuels. C’est le seul pays de la CE à avoir eu une croissance économique nulle au cours des 20 dernières années, avec un énorme dette publique qui rend impossibles politiques d’investissement. Il y a une grande différence de développement entre le nord et le sud du pays. Il y a trop de faux welfarisme (au lieu d’une culture du travail) et un crime organisé très puissant dans tous les domaines de la vie sociale

  • J’habite aux États-Unis. Le problème, c’est que tout le monde n’a pas les mêmes possibilités au début de la vie. On n’exige pas les mêmes attentes de tous. D’où vous venez, c’est là que les attentes sont établies. L’éducation n’est pas égale. Les parents n’ont pas égale.

  • Le grand problème en Iran est inégalité sociale et économique. Les personnes riches sont capables de vivre dans un bon état malgré tout, mais pour les ouvriers et les pauvres la situation crée par le gouvernement deviens jour après jour de plus en plus catastrophique.

  • Ún de ces grandes problems dans les villes en Australie c’est le coût de la vie, particulierement le loyer ansi que le pris des appart et maisons au centre-ville ou aux alentours de ca. C’est, pour la plupart, grace a l’investissement de l’etranger, notament des pays Asiatique puissant et riche comme la Chine. Les investisseurs etrangers sont capable de payer beaucoup plus que les Australiens. Ils les achetent pour les louer sur AirBnB a des tourists affluents, qui ont le moyen de payer un loyer plus haut par rapport à les habitants locaux. Donc, a cause de ca, le loyer moyen a commencé a augmenter rapidment, et du coup, il a devenue de plus en plus cher de vivre ici. C’est aussi en partie a cause de l’immigration des expats professionelles en grande quantité a travers des grands enterprises avec de bons salaires, et leurs concurrence entre eux à retrouver un bon apart ou maison pour eux memes ou egalment leurs familles. On a aussi quelque chose que l’on appelle “the harbour tax” à Sydney. C’est pas justament un vrai impot, mais une augmentation supplementaire de le loyer grace a la beauté de la ville, leur harbour, des pluseurs monuments celebres dessus, etc.

  • Je crois que dans la République Tchèque et surtout à Prague ça que le prix de logement. C’est de plus en plus difficile pour les gens qui n’ont pas le travail bien payé de se permettent de vivre dans la capitale. Et aussi que le centre de Prague s’est devenu un musée en plein air seulement pour les touristes, les locales ne vont plus là.

  • Ici en Australie le principal problème dans les villes sont des banlieues ethniques. Il y a de banlieues qui sont presque exclusivement chinois ou arabes, ou blanches aussi. Ce ségrégation mène des problèmes de sécurité et d’intégration dans la société.

  • La probléme pricipale à Toronto est la crise de logement. Il n’y a pas assez des maisons abordables dans la ville et les nouveaux bâtiments coûtent très cher. Les nouvelles appartements qui s’y trouvent sont achètes par de riches investeurs en place des torontiens ou les immigrés. Aprés ça ils les tranforment en AirBnB. Ça rend les loyers trés cher aussi.

  • J’habite en Hongrie à la capitale mais je suis née et aussi grandi à la campagne dans une assez petite ville. J’ai fait mes études (lycée et l’université) dans deux villes qui sont siège de comtés. J’avais 24 ans quand j’ai déménagé à la capitale après ça que j’avais déjà des années d’expérience lié le niveau de la vie. Malheureusement, ici il y a plusieurs problèmes à considérer. Par exemple: la population vieillissante, le grand nombre d’adultes peu qualifiés mais il y a extrêmement visible de la pauvreté et du chômage. Au contraire, c’est évident qu’il y a une grande différence entre les villes concernant ces facteurs. Le pays est centralisé ça signifie dans ce cas qu’il y a beaucoup de choses (les services, les opportunités de travail, ou simplement le possibilité du progrès) qui est disponible dans la capitale même s’il y a énormément de gens très talentueux qui habitent à la campagne mais qui ne sont pas capable de partir à cause des choses qu’ils étaient mentionnés par moi pendant l’introduction. On doit parler d’un autre phénomène qui existe vivement. La migration.

  • Les plus gros problèmes au Brésil sont la pauvreté et les inégalités sociales, et la violence et à la criminalité.

    Maintenant, j’habite au Canada parce qu’il est très dangereux de vivre au Brésil et, pour nos enfants, il n’y aura pas beaucoup de possibilités lorsqu’ils grandiront.

  • J’habite dans an petite ville du Vermont, aux États Unis. Il n’ya pas de grand problème comme le banlieus. Mais beaucoup de “ghetto” dans l’autres états comme New York, Chicago and Los Angeles pour n’en mentionner que quelques-uns. Mais les États-Unis sont le «pays des opportunités» et il est possible de sortir de cette vie. Je sais que ce n’est pas facile, mes parents ont dû travailler très dur et souffrir mais ils ont vaincu. Mes parents sont des immigrants pour l’Amérique latine et ils ne laissent pas l’injustice sociale et la discrimination entraver leurs rêves, et ils ont transmis ce courage pour réussir à leurs enfants. Je suis un exemple de ce courage.

  • A l’Espagne, le principal problèm à les villes est le bruit et les groupes de personnes qui veulent être les propriétaires de les rues. Le premier, parce que la police ne fait pas rien quand les voisins fait de bruit a quelque heure à la nuit. La deuxième, de las bandes organisées que gaignent de l’argent avec le traffic de la drogue, la prostitution, etc.

  • Nous avons beaucoup de problèmes dans les villes. J’habite à Washington, D.C. dans un bel appartement au huitième étage, mais de mes fenêtres je peux voir des gens sans-abri qui n’ont pas de travail. Avec l’arrivée de Covid 19 tous les restaurants et les boutiques sont fermés, et j’ai peur que plusieurs vont faire faillite. Quelle catastrophe!

  • J’habite à Syracuse dans l’état de New York. En fait, pas mal de choses m’écœurent ici. Les ordures jettées par terre. Les lycéens et collégiens qui disent n’importe quelle vulgarité sans la moindre gêne. ( Je suis chauffeur d’autobus en ville). La “musique” offensive que l’on écoute à très haut ampleur en voiture. La violence comme solution de résoudre un problème. Ceux qui sont accrochés aux habitudes malsaines. Tristement, c’est pareil un peu partout aujourd’hui. C’est pas une Belle Époque, mais on peut toujours éviter et résister.

  • J’habite à Madagascar, à Fianarantsoa maintenant. Il y a pauvreté par tout, il n y a pas vraiment des ‘banlieues’, les maisons riches sont entre les maisons pauvres (mais des riches avoir des clôtures grandes). Les gens sont calmes, mais a mon avis c’est pas pour long temps…

  • Je vis dans 4 États aux États-Unis depuis plus de 30 ans. Il existe de nombreuses disparités dans les villes des États-Unis. Ce qui est pire que la disparité, c’est quand les pauvres perdent espoir et reprennent la drogue et la violence.

    Mais à Singapour et dans la ville de Shenzhen, en Chine, tout le monde travaille, qu’il soit riche ou pauvre. Ils travaillent également très dur, en particulier dans la ville chinoise. Il n’y a presque aucun crime dans les deux villes.

  • Moi, j’habite dans une petite ville à New England. Le problem le plus grand ici est l’usage de drogues. Dernière le resto où je travail, il y a un camp où pendent les mois chauds, les gens vivent et vendent de la drogues. On peut y trouver beaucoup de aiguilles sur terre.

  • En Angleterre, la terre est très chère. Donc pour ouvrir un magazine dans la centre ville, le loyer est très élevé. Pourtant, aujourd’hui tout le monde achètent leurs choses sur l’internet. Par conséquent, particulièrement dans les petites villes, la centre ville est vide! Il n’y a plus d’investissement, la culture n’est pas vibrante, et la plupart des magasins sont des bureaus de paris.

  • Cet essai a été très utile. Quand je pense à la France, je pense à la tour Eifel, aux vignobles, aux cafés, aux peintures de Monet, etc. Nous avons les mêmes problèmes aux États-Unis. Ce sont peut-être des problèmes qu’aucun gouvernement ne peut résoudre.

  • J’habite à Melbourne en Australie. Nos banlieues s’étendent sur 20 kilomètres ou plus du centre-ville. Il y a des banlieues plus riches et des banlieues plus pauvres mais pas une banlieue aussi troublée que celles décrites par Hugo. Ce que me concerne le plus, est le nombre croissant des sans-abris dans les rues. Il y a dix ans, cela n’existait pas. Beaucoup des sans-abris ont les maladies mentales ou des problèmes de drogue. Il y a une longue attente pour des logements sociaux et pas assez d’hébergement de crise.

    • Oui, je suis de Melbourne aussi et la crise de gens sans abris à beaucoup augmenté et est plus visible les derniers quelques années.

      Avec les nouveaux banlieues, les maisons ne sont pas chères mais il n’y a pas de transport ou services pour soutenir la population.

  • Moi, j’habite à plusieurs villes aux Etats-Unis autour du Sud-Est du pays depuis vingt ans. Il n’y a pas de grands problèmes dans ces villes à mon avis. Si je dois prendre un os dans un œuf, un des problèmes, c’est la collision entre la diversité et formant une opinion en commun parmi les gens des cultures différentes. Le pays est connu par so société qui est composé des immigrants. Naturellement, les voix viennent de toutes les directions. Parfois, les malentendus sont inévitables qui mènent certains conflits, mais pas du tout en forme d’une émeute. Dans la pire situation, les gens forment une parade de s’exprimer leurs opinions dans la rue. En synthèse, on vit dans la paix.

  • Aux États-Unis, nous avons beaucoup des mêmes problemes dans nos villes que la France. Les riches ne se soucient pas des pauvres. Tout le monde ne se soucie que d’eux-mêmes. Ça ressemble plus ou moins la situation dans le pays en général. L’idée de s’occuper de ses voisins et concitoyens est ridiculisée comme étant faible et simple d’esprit. C’est pour ça il y a tellement de divisions dans notre société, et pourquoi nous nous battons tellement. C’est très triste.

  • En Slovaquie, la situation avec les banlieues et la pauvreté et plus ou moins la même comme Hugo a décrit dans la vidéo. Ce qui est un vrai problème dans des villes, c’est qu’il y a beaucoup de gens sans-abris, surtout dans la capitale.

  • Dans les grandes villes, il y a des gens qui dorment sur les rues (les sans-abris), qui sont alcooliques et usent des drogues dures. Le salaire de minimum n’est pas sufficient pour payer ni le logement ni l’alimentation. Il y a beaucoup de personnes que vivent au dessous du niveau de pauvreté. Autrement dit, il y a une vaste inequalité parce que l’argent est concentré dans les mains d’un petit groupe de gens.

  • Ici, à Vancouver, le plus grand problème est le prix de logement. Non, j’ai tort. C’est pas seulement le prix de logement, mais aussi la disponibilité. Selon “Demographia International Housing Affordability,” il y a seulement Hong Kong qui a un marché de logement plus inabordable que le notre — dans tout le monde! Et le taux d’inoccupation des logements locatifs, en ce moment, est environ 1%. Vous pouvez deviner qu’il y a beaucoup de sans abris. . .
    Il y a un autre problème (et les deux sont probablement connectés): la drogue, et particulièrement les opiödes, Fentanyl mais aussi héroīne, etc. . .

  • je suis né à Waxhaw dehors de Charlotte en North Carolina. la, le problème qui encore menace ma famille c’est le croissance ou le développement des banlieues! notre lieu était rustique où on trouve beaucoup des champs pour blé ou vaches ou, mon préféré, tournesols. mais, aujourd’hui, le ville Charlotte continue à construire beaucoup des quartiers peri des ‘intersections’ (c’est-a-dire, les carrefours). au face à ça, les riches ont occupé des quartiers privatisés alors que les pauvres généralement habitent proche des routes (et autoroutes) ou en certains quartiers malheureuses. le problème c’est pas seulement de la ‘suberbanization’ comme on dit l’Anglais (ou, peut-être, la banlieusation?) de tout le lieu, mais aussi c’est de le séparation des gens entre les riches et les pauvres, comme je me demande qu’il me semble devenir en Paris, n’est-pas?

  • Il y a beaucoup de problème aux villes de la côte ouest des États-Unis, la violence de la police contre les noirs, inégalité de richesse, chômage, mais je pense que le problème le plus sévère, c’est la gentrification et la prix du logement. Ceux qui donnaient de la diversité et du caractère aux villes ont fui, et maintenant les villes n’a plus de vrai culture, et ceux qui sont partis doivent conduire trois heures par jour pour aller trailler. Ça ne semble pas juste.

    • Je suis complétement d’accord. Je viens de NYC où la prix du logement est un problème serieuse pour la plupart des personnes. De plus en plus, NYC est un ville pour le plus riche est le plus pauvre, est bien sûr c’est très dificile d’être pauvre là.

    • Il y a aussi un problème entre le centre-ville à Londres et les banlieues dans l’extérieur. Comme en France, le problème est principalement centre dans l’est de la carte. Dans l’ouest la situation est pour la plupart très différent et les habitants gagnent bien leur vie. Pourtant, il y a beaucoup choses qui on peut faire continuer dans les banlieues. Ils ont un caractère et identité qui sont très créatif, artistique et distinctif de le reste de Londres.

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